JOURNAL
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Vendredi 16 Septembre
2005 |
Serres : Ils se sont
unis
Le 27 Août dernier, notre
village de Serres célébrait un mariage. Il s'agissait
de l'union de Magalie Rossignol et Vincent Rousseaux. Malgré
un temps incertain, les parents et amis des époux ont
pu apprécier le cadre romantique de notre cité.
A l'issue de cette cérémonie, une collecte au bénéfice
du petit village de Madagascar " Marovasabe" et de
Serres. La coquette somme de 348,60 euros a été
comptabilisée. |
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Rennes les Bains :
Le Raid Salé Samedi 17 septembre
Le raid salé, course pédestre
entre Rennes les Bains et Sougraigne, 13 Km de course sur chemins
et les sentiers jadis empruntés par les contrebandiers
du sel, aura lieu samedi 17 septembre. Départ à
10 heures, place des deux rennes, à Rennes les Bains.
Remise des prix à 13 heures. Renseignements au 04 68 69
82 94
du lundi au vendredi de 9 h à 12 h et de 14 h à
17 h |
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Couiza
l'eau potable contaminée et interdite à la consommation.
Hier à
15 h 48, la mairie a reçu un fax émanant des services
de la Ddass ( direction départementale des affaires sanitaires
et sociales ).
Le texte, très clair, demandait au maire d'interdire l'utilisation
de l'eau du robinet, aussi bien pour se désaltérer
que pour préparer les aliments.
En attendant, les Couizanais sont alimentés grâce
à l'usine d'embouteillage d'Alet les Bains. Le patron
d'une entreprise locale a mis l'un de ses camions à la
disposition de la commune pour aller chercher les palettes. |
Sortie du 12
octobre 2005
Sortie
des chercheurs et curieux au château du Bézu dans
la nuit du 12 au 13 octobre.
Ames sensibles et peureux s'abstenir. Bivouac, grillades au Château |
Une équipe de 5 chercheurs
allemands fouillent dans le Cardou depuis plusieurs jours. Il
semble que ces chercheurs soient des membres de l'association
AMALA |
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Un film sur Rennes
le Château vient d'être vendu aux enchères
sur le site Ebay, ce film est de 1965, Monsieur Henry Fatin le
châtelain du Château de Rennes le Château est
un intervenant |
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Une petite statuette
nous a été montrée par un habitant de Cassaignes.
Il semble que cette statuette représente un templier étant
donné l'usure de celle-ci, il nous a été
difficile de vérifier son authenticité.
La statuette
tenue dans la main d'Asmo |
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Conférences
été 2005
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Vendredi
12 août 20 .00 "Le repas des chercheurs"
Le repas des chercheurs aura lieu au mini golfe de Rennes
les Bains dans le parc ombragé, à cette occasion
plusieurs conférenciers sont prévus dans le cadre
d'une table ronde.
L'écrivain André Salaün, Michel
Pous, Daniel Duges et sous réserve Franck
Marie.
Repas
: buffet froid et chaud au tarif de 15 euros par personne.
Renseignements et réservations Tel : 04 68 74 06 42
Réservations
du repas :
les chèques de 15 euros par personne devront être
libellés à l'ordre de : L'hostellerie de Rennes les Bains
et envoyés
à : cercle
du 17 janvier domaine de Blanchefort 11190 Cassaignes
Nom :.........................
Prénom :.......................
Adresse :......................
Participation
15 euros / personne
Nombre de personnes : ..................... |
Le
Secret de Marie-Madeleine.
Conférence du 16 août 2005
Conférence
donnée le 23 juillet 2005 à Rennes-les-Bains, par
Christian DOUMERGUE.
Ci-après,
voilà brièvement présentés les différents
points abordés lors de ma conférence : Le Secret
de Marie-Madeleine, donnée le 23 juillet dernier au
foyer cinéma de Rennes-les-Bains dans le cadre du cycle
de conférences organisé par Jean SINET. Cette conférence
sera à nouveau donnée le 16 août prochain,
toujours à Rennes-les-Bains, cette fois-ci sous le patronage
de l'Association Terre de Rhedae.
Résumé
/ Présentation : Marie-Madeleine est le premier témoin
de la Résurrection de Jésus. " Ressuscité
le matin, le premier jour de la semaine, il apparut d'abord à
Marie de Magdala
" rapporte Marc XVI, 9
tandis que Jean, qui fait également de la sainte le premier
témoin de la Résurrection, donne de la scène
un récit plus long, où l'on voit Jésus charger
Madeleine d'annoncer la nouvelle aux disciples.
La sainte se voit ainsi investie d'un rôle fondamental
: les théologiens du moyen-âge lui donneront le
titre d'"Apôtre des apôtres". Renan
dira pour sa part à propos de cet épisode : "La
gloire de la résurrection appartient donc à Marie
de Magdala. Après Jésus, c'est Marie qui a le plus
fait pour la fondation du christianisme."
Dès lors, il est troublant de constater que Marie-Madeleine
n'est pas mentionnée une seule fois dans les Actes
des Apôtres, récit succédant aux évangiles
et rapportant la naissance de l'Eglise. Plus intriguant encore,
Pierre, qui jouait un rôle plutôt négatif
dans les évangiles (Jésus va jusqu'à reconnaître
Satan sous ses traits) est présenté, dans La Première
épître aux Corinthiens XV, 3-7, comme le premier
témoin de la résurrection.
Cela laisse l'impression d'une mise à l'écart.
Littéraire, celle-ci est aussi cultuelle : le culte de
la sainte n'est avéré en Occident qu'à partir
du VIIIe siècle.
Traditionnellement, on explique cette mise à l'écart
par la misogynie des Pères de l'Eglise. L'explication,
si elle est séduisante, n'est pas satisfaisante. En effet,
dans le même temps où l'on écarte Marie-Madeleine,
on tend à donner plus d'importance à une autre
femme des évangiles : Marie, mère de Jésus.
Certains auteurs syriaques, comme Ephren, remplacent dans les
transcriptions de textes antérieurs qu'ils réalisent,
le nom de Marie-Madeleine, par celui de Marie, mère de
Jésus. De nombreux ouvrages, comme le Livre de la Résurrection
de Barthélémy, ou l'Homélie en l'honneur
de la Vierge du Pseudo-Cyrille attestent de ce phénomène,
qui laisse penser que la mise à l'écart de Marie-Madeleine
par l'orthodoxie naissante, ne serait pas tant due à son
sexe, qu'à elle-même.
Pourquoi ? Quel danger représentait la sainte pour l'Eglise
romaine en devenir ? Si rien, dans les évangiles canoniques
ne nous permet de le comprendre, différents textes apocryphes
retrouvés en Egypte entre la fin du XVIIIe siècle
et 1945, apportent un éclairage nouveau. Marie-Madeleine
y est dépeinte comme le disciple préféré
de Jésus et son héritière, tandis que Pierre
est un imposteur qui a déformé le message du Christ.
Remettant en question deux-mille ans d'Histoire, ces textes nous
permettent en outre de répondre par l'affirmative à
une autre question : Marie-Madeleine est-elle réellement
venue en Gaule, et y a-t-elle fini son existence, comme l'affirment
les vies de saints du moyen-âge ?
Une fois résolue, cette question en amène naturellement
une autre : où Marie-Madeleine a-t-elle réellement
débarquée en Provence ? sachant que la voix maritime
reliant Rome (où la sainte s'est, selon certaines traditions
locales, rendue pour rencontrer Tibère) à la Gaule
n'abouti pas à Marseille mais à Narbonne ?
Christian DOUMERGUE. |
Mardi 21 juin
21.00 "La Buvette",
rue du Séminaire 11580 à Alet-les-Bains
"En ce temps-là, les dieux marchaient parmi les hommes...
- Re-Vision des 11 premiers chapitres de la Genèse par Nicolas
de Léon. |
Mardi 28 juin
21.00 "La Buvette",
rue du Séminaire 11580 à Alet-les-Bains
"Des vaisseaux de pierres aux vaisseaux des Célestes"
- Pour une certaine théorie de la "Transmutation"
"
par Nicolas
de Léon.
Contact : Nicolas de Léon, Office de Tourisme Alet 04
68 69 93 56. |
Samedi 2 juillet
15.00 "Domaine de la Sals"
11190 Sougraigne - Egalement le 6 août
!
Saluons ce nouveau cycle de conférences dans un cadre
idyllique!
"Les Templiers dans la Haute-Vallée" par Georges Kiess.
Eminent président du C.E.R.T. (Centre d'Etudes et de Recherches
Templières), |
Mardi 5 juillet
21.00 "La Buvette",
rue du Séminaire 11580 à Alet-les-Bains
"Rennes-le-Château et l'avènement de l'Ere
du Verseau" - Etat des lieux, prospectives" par Nicolas de Léon. |
Samedi 9 juillet
15.00 "Domaine
de la Sals" 11190 Sougraigne -
Egalement
le 13 août !
"Les Vortex - Nouveau regard sur la science" par Jean Linares. A découvrir... |
Mardi 12 juillet
21.00 "La Buvette",
rue du Séminaire 11580 à Alet-les-Bains
"La " Maison de Nostradamus " à Alet -
Sur la piste des descendants des rois juifs en Razès"
par Nicolas
de Léon. |
Samedi 16
juillet 15.00 "Domaine de la Sals"
11190 Sougraigne - Egalement le 20 août
!
"Ovni Contact - Retour sur les événements
du 5 novembre 1990" par Franck Marie.
Spécialiste de RLC, Franck Marie avait créé
le S.R.E.S. (Secrétariat aux Recherches et Etudes Spéciales)
à Bagneux dans les années 70. Il a rédigé
quelques livres en rapport avec notre histoire. Nous vous conseillons
"RLC - Etude critique" et "Le surprenant message
de Jules Verne". |
Mardi 19 juillet
21.00 "La Buvette",
rue du Séminaire 11580 à Alet-les-Bains
"La prophétie et le "Syndrome de Jonas"
- Faire la part de l'inexorable et de l'évitable"
par Nicolas
de Léon.
Contact : Nicolas de Léon, Office de Tourisme Alet 04
68 69 93 56. |
Mercredi 20
juillet 20.30 "Le foyer cinéma",
à Rennes les Bains
"Le secret dérobé" - par Franck DAFFOS, présenté
par Jean SINET.
L'affaire de Rennes le Château,
le trésor de la haute vallée de l'Aude, la redécouverte
au XVIIè siècle,
les acteurs de cette histoire, le secret des prêtres du
Razès.
Organisé
par l'association racines et recherches audoises ( loi 1901 ) |
Samedi 23
juillet 15.00 "Domaine de la Sals"
11190 Sougraigne - Egalement le 27 août
!
"Les Enigmes de Bugarach - Et in Bugario" par André Douzet.
Chercheur, écrivain et conférencier, André
Douzet a déjà présenté avec succès
cette conférence à "L'Ecluse au Soleil"
en avril 2005. |
Samedi 23
juillet 20.30 "Le foyer cinéma",
à Rennes les Bains
"Marie-Madeleine, la reine oubliée" - par Christian DOUMERGUE,
avec la participation de Jean SINET.
La véritable histoire
de Marie Madeleine et de Jésus, les premiers apôtres
en Gaule du Sud, la véritable descendance de jésus,
ariens, chrétiens ou catholiques. |
Mercredi 3
Août 20.30
"Le
foyer cinéma", à Rennes les Bains
"De Rennes le Château au Da Vinci Code : 60 ans de
recherches" - par
Jean SINET, avec la participation de Pierre JARNAC.
Les procureurs, les mystificateurs,
les chercheurs, vrais indices et faux documents, toutes les hypothèses
et leurs origines ? Rabelais, Jules Vernes, Maurice Leblan, Arsène
Lupin, Gaston Leroux, les frères Arago, Maurice Magre. |
Samedi 6 Août
20.30 "Le foyer cinéma",
à Rennes les Bains
"Le secret des Wisigoths" - par Jean SINET
Leur histoire, leurs religions,
leurs légendes, le rôle de rennes le Château,
le dépôt trésoraire, la ligne perdue, les
romans du Graal et la Table Ronde. |
Lundi 8 Août
20.30 "Le foyer cinéma",
à Rennes les Bains
"Le vrai trésor des templiers" - par Jean SINET
Leur véritable origines,
leurs commanditaires, leur histoire, leur vraie mission, leur
héritage.
Le rôle des templiers du Languedoc-Roussillon |
Mercredi 10
Août 20.30
"Le
foyer cinéma", à Rennes les Bains
"Les OVNI et Rennes le Château" - par Jean SINET
Témoignages et observations,
une logique ? Le secret des montagnes de la haute vallée,
le sanctuaire non profané, sommes nous sous haute surveillance
? Le savait-on et depuis quand ? |
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Article
du Lundi 21 Février 2005
Reportage
de Didier M
Le pèlerinage
de Notre-Dame de Dusenbach est situé entre Ribeauvillé
et Sainte-Marie-aux-Mines -68-. La fondation du pèlerinage
est l'oeuvre des
seigneurs de Ribeaupierre, anciens maîtres des châteaux
dont les ruines
dominent la contrée. L'origine du pèlerinage remonte
à l'époque des
croisades. Trois destructions, intervenant à des époques
d'apogée, ont ruiné
et ravagé le pèlerinage. Ce qu'on voit aujourd'hui,
l'image de la Vierge
exceptée, a été reconstruit une quatrième
fois à la fin du XIXème siècle,
d'après les plans primitifs.
Le christ
en bois daterait de 1894.
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Article
du Lundi 31 janvier 2005
Article
du journal Paris Jour
du Mardi 21 Février 1967
La D.S.T. (Direction
de la Surveillance du Territoire, c'est à dire le contre
espionnage) s'intéresse de près à l'enquête,
ce qui donne à penser que la victime a pu être mêlée
à une affaire d'espionnage. C'est un cheminot de la gare
de Melun qui a découvert le corps à 4 h du matin
sur le ballast, près du pont du chemin de fer. Les vêtements
du mort étaient éparpillés non loin de lui.
Sa montre était arrêtée à 23 h 27.
C'est l'heure où le Paris Genève qui part de la
gare de Lyon à 23 h 2 traverse la gare de Melun. Le Pakistanais
est vraisemblablement tombé du train. Mais dans quelles
circonstances ?... (Suit la description des voitures du Paris
Genève et de leur système de verrouillage)... Il
ne peut être question, par conséquent, que d'un
suicide ou d'un crime. La première hypothèse n'est
pas écartée, mais les enquêteurs ont trouvé
beaucoup de détails troublants.
" Fakhar-Ul-Islam voyageait beaucoup. Le passeport de ce
garçon de vingt ans porte une vingtaine de visas de différents
pays. On a retrouvé aussi parmi ses papiers un arrêté
d'expulsion de l'Allemagne de l'Ouest et plusieurs pièces
d'identité qui portaient des photos d'hommes, des Pakistanais
en turban et des Européens blonds, mais son portefeuille
a disparu. Il semble que Fakhar-Ul-Islam ait débarqué
à Orly le 16 février. Mais pourquoi a t-il été
expulsé d'Allemagne ? On l'ignore, comme on ignore encore
ce qu'il allait faire en Suisse.
" Autre détail curieux on aurait dû retrouver
ses bagages à l'arrivée du train à Genève
où la police, prévenue, a fouillé tous les
wagons. Elle n'a pas découvert la moindre valise. Ce qui
est anormal, car les vêtements du mort sont ceux d'un homme
élégant qui ne devait pas voyager sans bagages.
" Un assassinat dans un rapide aussi fréquenté
que le Paris Genève peut paraître difficile à
réaliser. Mais il n'est pas impossible. Deux hommes qui
guettaient le Pakistanais, dissimulés dans le soufflet,
pouvaient fort bien le maîtriser par surprise et le précipiter
sur la voie sans que personne s'en aperçoive ".
Or, un document adressé anonymement à quelques
personnes et qui se rattache aux papiers Lobineau, puisqu'il
est intitulé: Les Dossiers secrets de Henri Lobineau
: à Monseigneur le comte de Rhedae, duc du Razès,
le légitime descendant de Clovis 1er roi des rancs, sérénissime
rejeton ardent du roi Saint Dagobert II, son humble serviteur
présente ce recueil... etc., contient les phrases suivantes
:
" L'affaire de Rennes le Château touche tout le Languedoc,
c'est même une petite guerre entre services secrets. Un
cas parmi les autres, la disparition de la serviette de cuir
de Léo Schidlof transportée par un certain Fakhar-Ul-Islam.
Cette serviette contenait les actes ainsi que les dossiers secrets
de Rennes entre 1600 et 1900 et devait être remise le 17
février 1967 à un agent délégué
par Genève en Allemagne de l'Ouest. Or Fakhar fut expulsé
et se retrouva à Orly le 16 février. A Paris, il
attendait des ordres. Il rencontra le 18 un certain Herbert Régis,
ingénieur ; le 20 février, on retrouva le corps
de Fakhar-Ul-Islam sur le ballast près de Melun. Il était
tombé du rapide Paris Genève. Plus trace de serviette.
Tel est un des multiples épisodes de cette guerre secrète.
Ici, le silence est règle d'or... ".
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Article
du Mardi 27 Juillet 2004
Repas
des chercheurs du 14 Août 2004 à 20 heures
A la
demande de nombreux chercheurs et passionnés de l'histoire
de Rennes le Château, sur une idée de Galahad nous
avons décidé de faire le repas des chercheurs au
domaine de blanchefort, ceci en plein air, face au château
sus cité.
Pour des raisons d'intendance il est nécessaire que chaque
participant amène sa chaise ou tabouret, le reste nous
nous en chargeons.
Voici
le menu que nous vous proposons :
- Apéro
et amuses-gueules à volonté
- Entrées :
Diverses salades, niçoises, courgettes à la grecque,
terrine préparée par Sylvie ( Marie )
- Civet de sanglier avec ses haricots
- Fromages
- Dessert
- Café
- Digestif
Vin à volonté
Pour ceux qui sont végétariens merci de nous le
signaler afin que nous puissions leur faire un repas végétarien.
En se
partageant les frais il faut compter une participation maximum
de 7 euros par personne ( 50 francs ).
Nous
avons déjà une cinquantaine de personnes intéressées,
il est possible que nous soyons une centaine, il est donc nécessaire
de réserver le plus tôt possible afin que nous nous
organisions ( Clôture des inscriptions le 10 Août
)
PS :
Nous aurons peut être une animation musicale.
Pour
réserver uniquement Tel: 04 68 74 06 42
Nous
n'aurons peut être pas la chance d'avoir parmi nous notre
administrateur préféré " Asmo"
en effet celui-ci n'aime pas le sanglier " "ha,ha,ha,ha"
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Article
du Samedi 24 Avril 2004
La
dépouille de l'abbé Saunière déplacée
Le monument qui
devrait accueillir la dépouille de l'abbé.
Depuis quelques
jours, le village de Rennes le Château s'agite. La tombe
de l'abbé Saunière, située dans le cimetière
qui jouxte l'église, vient d'être ouverte. La dépouille
du plus célèbre des curés de campagne en
serra enlevée prochainement.
Ceci sur la demande de sa famille.
Ces héritiers veulent mettre les restes de leur parent
à l'abri de toutes les folies. En effet, depuis de nombreuses
années, la tombe est sans cesse l'objet d'actes de chercheurs
de trésor et autres mystiques en tout genre.
La dépouille devrait rejoindre le monument cultuel construit
en la mémoire de Béranger Saunière, construit
tout dernièrement par la municipalité dans les
jardins de la villa Béthanie, le domaine que possédait
l'abbé à Rennes le Château.
Seul problème, cette décision ne plaît pas
aux nombreux amoureux du site et encore moins aux chercheurs.
Ces derniers se sont organisés et ont lancé une
pétition. Plusieurs sites internet du monde entier ont
réagi à cette nouvelle. Enfin, les contestataires
ont envoyé une lettre au préfet de l'Aude.
Ils dénoncent le fait que désormais, " il
faudra payer pour se recueillir sur la tombe de l'abbé
Saunière". Et que sa volonté n'est pas respectée.
D'après une enquête, seuls 42 % des visiteurs du
site y viennent pour voir la tombe de l'abbé.
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Article
de la dépêche du midi du 2 novembre 2006.
Rennes le Château
: Après six ans de recherches, le maire de Rennes le Chateau
met à mal toutes les théories fumantes.
Les nouveaux documents expliquent le " mystère "
Rennes le Chateau
Après six années
de recherches dans les archives, les bibliothèques, Jean-François
Lhuillier, le maire de Rennes le Chateau apporte de nouveaux
documents au dossier de l'abbé Saunière : une lettre
de marie Dénarnaud au percepteur, son testament olographe,
un acte du tribunal de Limoux et le détail des revenus
de Marie Dénarnaud en 1939. Il raconte aussi pour la première
fois ce qu'il a trouvé dans la tombe du curé lors
de son transfert.
Pourquoi avoir fait des recherches
?
Pour deux raisons. En dehors de ma responsabilité de maire,
je suis très attaché à ce site. Enfin, toutes
ces théories, partant dans tous les sens, me semblaient
être nuisibles à l'esprit du site.
Que nous apprennent les documents
que vous avez retrouvés ?
Dans un document, enregistré à Limoux le 21 avril
1917, devant greffier, on apprend que les descendants, frères
et surs ont refusé l'héritage de l'abbé
François Bérenger Saunière, curé
de la paroisse de Rennes le Chateau, décédé
le 17 janvier 1917.
Le domaine revient donc à
Marie Dénarnaud
Personne ne réclame le domaine où vit la famille
Dénarnaud. Je dis bien la famille. Le père et la
mère entretiennent le domaine, paient les taxes. En conséquence
et en fonction d'une disposition dite trentenaire de la loi française,
le bien 30 ans après le renoncement des héritiers
devrait appartenir à Marie Dénarnaud, la seule
survivante de la famille.
Les documents que vous avez
retrouvés le confirment-ils ?
Le testament olographe de marie Dénarnaud, signé
en 1946, pour un an, ne respecte pas la disposition trentenaire.
Il est donc nul. Il est a noter néanmoins que Marie durant
cette période devait verser au Trésor les taxes
du foncier bâti et non bâti. Soit la somme de quelque
2000 francs (de l'époque), en 1939.
Qu'est ce que ces documents
nous apprennent d'autre ?
Ils nous font apparaître deux choses. La première,
c'est que Marie Dénarnaud est quasiment illettrée.
Ce qui met à mal ces soit disantes correspondances enflammées
qu'elle aurait eu avec l'abbé Bérenger Saunière.
Deuxième chose, en 1939, des gens versaient des sommes
importantes à Marie Dénarnaud. Pourquoi ? Le mystère
reste entier.
Ni l'abbé, ni elle,
ne possédaient donc d'argent?
L'abbé est mort avec des dettes d'épicerie. Nous
en avons les preuves. Bérenger Saunière est un
homme d'église, à la fois profond et pris dans
une spirale de bâtisseur. Ces fonds, qui lui permirent
de réaliser ces constructions sont extérieurs à
la commune de Rennes le Chateau car l'abbé n'a jamais
eu d'argent en propre. Il était payé par l'extérieur
comme Marie Dénarnaud.
Vous avez une hypothèse
à ce propos ?
Dans les années 1880 - 1890, il y avait une volonté
d'un certain mouvement royaliste de rattacher le Languedoc et
le Roussillon au comté de Barcelone. Le prêtre a
participé activement à ce mouvement. Les gens que
l'abbé a aidés, l'aident financièrement
en retour pour ses constructions.
Revenons sur le transfert du corps du curé. Qu'avez-vous
découvert ce jour là ?
Je rappelle que le déplacement de la tombe a été
demandé par ses descendants. Le transfert des restes s'est
fait en présence d'un avocat, d'un huissier de justice
et d'un officier de gendarmerie. Au moment d'ouvrir la tombe,
j'ai été animé de plusieurs sentiments.
Qu'allait-on découvrir ? Le corps était-il entier
?
Tout était absolument normal. Le prêtre était
seul. Son squelette était normal. On a aussi retrouvé
un missel sur sa poitrine, qu'il tenait avec ses deux mains.
L'huissier a pris toutes les photos. D'un coup, toute la littérature
farfelue des années 1960 - 1995 est tombée dans
la boue. Elle a fait plouf.
Vous avez conscience qu'avec
ces nouvelles preuves, vous tuez une partie du mystère
du site de Rennes le Chateau ?
Ce site, au paysage remarquable, est un lieu de force habité
sans interruption depuis la période protohistorique. Qu'en
ses flancs se trouve un quelconque trésor n'a rien d'invraisemblable.
C'est pourquoi j'encourage les vrais chercheurs à poursuivre
leurs recherches intelligentes.
Maintenant que penser des multiples titres (+ de 300 à
ce jour) écrits à partir de données que
l'on vient de démontrer fausses. A quand de véritables
écrivains pour tracer de ce site une histoire riche et
vraie où le mystère côtoie forcément
le merveilleux ?
Je tiens à la disposition des personnes tous les documents
en mairie de Rennes le Chateau.
Propos recueillis par E.D |
Rennes le Château
libéré
des rebelles par les paras.
La commune
de Rennes le Château, l'instant d'une nuit a été
le théâtre de
manoeuvres du 3eme RPIMa. Près de 130 militaires et la
population a participé.
Avant de donner
l'assaut, les parachutistes ont balancé des grenades fumigènes. |
Depuis mercredi soir des rebelles
tenaient Rennes le Château.
Les paras
ont libéré les otages.
Armée. Durant deux jours,
le 3eme RPIMa a effectué des manuvres à Rennes
le Château.
L'objectif : délivrer un groupe de personnes prises en
otage par des rebelles. Les otages étaient tous des habitants
volontaires. Quand aux rebelles, ils étaient dirigés
par le maire de la commune. |
Les rares habitants
restants sont sortis avec un drapeau blanc
Au petit matin,
les hommes du "3" ont donné l'assaut.
|
Hier, les hommes du RPIMa
ont libéré une dizaine d'otages à Rennes
le Château. Une mission périlleuse, réussie
avec très peu de perte.
L'affaire avait débuté mercredi. Un groupe de rebelles,
commandé par un ancien officier parachutiste, s'empare
de Rennes le Château. Et prennent en otage une dizaine
d'habitants. Heureusement, les autres réussissaient à
s'enfuir.
Aussitôt prévenues, les plus hautes autorités
de l'État décident d'intervenir et chargent les
hommes du 3eme RPIMa de libérer les otages. Une opération
est montée.
Dans la nuit de mercredi à jeudi, les premiers commandos
sont largués à 20 Km de l'objectif. Leur mission
: reconnaître le terrain pour préparer l'assaut.
Dès les premières lueurs du jour, le reste des
troupes saute en parachute. Et au petit matin, les hommes du
3ème RPIMa donnent l'assaut à Rennes le Château.
Les rebelles sont embusqués dans trois endroits différents
(caves, maisons..) autour de la mairie.
Pour se protéger, ils avaient mis des barrages un peu
partout dans les rues pour bloquer l'accès. Mais, rien
n'arrête le 3ème RPIMa. Dans un nuage d'épaisse
fumée, les parachutistes ont donné l'assaut et
tué une partie des rebelles, qui lâchement se servaient
des otages pour se protéger. Tous ont été
libérés. Mission accomplie.
Heureusement, tout ceci n'était qu'un exercice et les
otages étaient tous volontaires. |
Tous les rebelles
survivants ont été neutralisés, jetés
à terre et ligotés par les parachutistes.
Le chef des rebelles,
un ancien officier parachutiste, a été fait prisonnier.
Une fois débusqués,
les rebelles se sont servi des otages pour se protéger.
Mais, ça n'a pas suffi |
|
Les habitants de Rennes le château
sont habitués à voir arriver dans leur petite commune
des caravanes entières de passionnés d'histoire
de l'abbé Saunière. Mais mercredi dans l'après
midi, ceux-ci ont vu débarquer un tout autre genre de
personnages, des hommes armés prenant possession du village.
En effet, dans le cadre des entraînements du 3eme RPIMa,
au sauvetage d'otages et plus particulièrement de ressortissants
français en extérieur, les militaires Carcassonnais
ont effectué de mercredi à jeudi de grandes manoeuvres
sur la commune de Rennes le Château.
L'opération Mandragore.
Pour rester au (top niveau ), les militaires doivent s'entraîner.
Et pour ce faire, ils doivent réaliser des exercices au
plus proche de la réalité. C'est ce que s'est appliqué
à reproduire le bureau d'opération et d'instruction
du 3eme RPIMa en préparant " l'opération Mandragore
". Une véritable mise en scène touchant au
plus près ce qui pourrait arriver a des ressortissants
Français dans des pays très instables comme l'Irak,
le Rwanda, la Côte d'ivoire et beaucoup d'autres encore.
Cette opération consistait donc à libérer
des otages, des administrés volontaires de la commune,
des mains de rebelles ayant apparu dans le village mercredi dans
l'après midi.
Deux sections de combat organique, structures ternaires, une
section d'appui et une section commandement ont participé
à la manoeuvre, soit près de 130 militaires.
Le déroulement de l'exercice.
Dans la nuit du 29 au 30, les parachutistes ont sauté
dans la région de Puivert et ont observé avec des
appareils de vision nocturne les agissements des rebelles. C'est
au petit matin qu'ils se sont lancés à l'assaut
du village avec l'utilisation de munitions d'exercice, ce qui
a fait du bruit et sûrement surpris les quelques habitants
qui n'étaient pas au courant. La rapidité d'action
des parachutistes a été si performante que les
militaires ont été en avance sur le programme.
En somme une vraie réussite : " pendant les manoeuvres
tout s'est très bien déroulé. La population
a été très sympathique et a grandement participé
à l'opération en tant qu'otage. Cela nous a permis
de travailler en situation réelle nos différents
savoir faire " indique le lieutenant Bertrand Rives. A la
fin de l'exercice, la population s'est vue présenter du
matériel à " la Capitelle ", en particulier
les appareils de vision nocturne. Ensuite les parachutistes ont
orchestré une démonstration en chute libre sur
la commune. En milieu d'après midi, toute la population
de Rennes le Château était libérée. |
Articles de la dépêche
du midi et du Midi libre
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Article du Mercredi
16 juillet 2003
Conférence à Rennes les Bains
Le mercredi 30 juillet et le mercredi 18 août au foyer
de Rennes les Bains.
Antoine Captier
et Daniel
Dugès, présenteront le mercredi 23 juillet
une conférence sur l'affaire de Rennes le Château.
Ils abordent l'énigme sous un angle décalé
par rapport à l'histoire traditionnelle.
Antoine Captier est un enfant de Rennes, il a passé
sa jeunesse au cur même du mystère. Son arrière
grand père était le carillonneur de l'abbé
saunière. Ses souvenirs de jeunesse sont ceux des gens
qui ont connu Bérenger Saunière et sa bonne Marie
Dénarnaud, dont il se souvient très bien lui même.
Par son mariage, il est en outre l'héritier de Noël
Corbu et de tous les documents que constituent les papiers personnels,
les comptes et la correspondance de l'abbé.
Daniel Dugès est professeur d'arts plastiques et
d'histoire de l'art. Il travaille sur cette énigme depuis
quinze ans, et il est le copropriétaire de documents inédits,
constitués de parchemins et de courriers attachés
à cette affaire. Spécialisé dans le décodage
des parchemins et des uvres d'art, l'étude qu'il
présente avec Antoine Captier, détachée
de toutes considérations spirituelles est une véritable
enquête à travers l'histoire.
Tous les documents sont présentés en vidéo
projection et largement commentés.
Cette conférence est destinée à un public
assez large d'amateurs ou de débutants.
Le mercredi 18 août, Daniel Dugès fera une conférence
plus destinée aux amateurs éclairés de cette
histoire, elle sera plus particulièrement orientée
sur l'examen de certaine uvres d'art dont " les bergers
d'Arcadie " de Poussin, et le décryptage et l'analyse
des parchemins connus et d'autres totalement inédits.
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Article du Dimanche
6 juillet 2003
Compte rendu de la conférence du vendredi
4 juillet
au jardin
de l'abbé à Rennes le Château
Vendredi 04 juillet,
Jean Luc Robin, restaurateur de " la table de l'abbé
" à Rennes le Château, nous a fait l'honneur
de commencer le cycle des conférences qui se dérouleront
tout les vendredi soir de l'été.
Cette conférence d'ouverture a commencé après
le repas (buffet campagnard à volonté !) . Jean
Luc nous raconte sa première fois à Rennes
le Château, où âgé de sept ans, il
accompagnait ses parents pour déjeuner au domaine de (feu)
l'abbé Saunière, tenu à l'époque
par Mr Buthion.
Qui aurait cru que quelques années plus tard il serait
lui même restaurateur au domaine?
il nous raconte qu'elles sont ses propres conclusions sur cette
affaire de trésor, qui l'a accompagné ça
vie durant.
Selon lui, Saunière dès son arrivée, a reçu
des dons par la Comtesse de Chambord, en relation avec le Marquis
De Chefdebien, dont le précepteur n'était
autre que Alfred Saunière, le frère de Béranger.
Ces dons lui sont versés pour effectuer des recherches
dans son église. Il y trouve des parchemins révélant
un arbre généalogique et l'emplacement du tombeau
des seigneurs, dans la crypte de l'église Marie Madeleine.
Saunière comprenant que les informations révélées
par ces parchemins sont d'une grande importance, fait monter
les enchères. La famille de Hasbourg en ayant besoin pour
prouver
leur légitimité d'un pouvoir politique sur l'Europe,
envoie Jean De Hasbourg pour un accord. Contrat accepté,
(la famille paye ce que Saunière leur demande.)
Mais Jean
Luc nous dit .Dons pour rechercher, petit magot laissé
par Bigou sous l'autel, vente de documents, trafique de messes,
et encore quelques dons, auraient finalement suffit à
l'abbé pour réaliser les constructions du domaine,
estimées à 24 millions de francs nouveau, soit
3.653.207 Euros . Saunière, très intelligent, aurait
fait fructifier ses biens, grâce à des placements
dans environ douze
banques, dont la banque Friedjdorg à Budapest.
Jean Luc nous fit remarquer que
les deux érudits de Rennes le Château
à l'époque étaient le curé et le
professeur, qui sans parenté aucune, s'appelaient tout
les deux, Saunière. Ils ne se supportaient pas, mais le
soir venu, le professeur ne crachait pas sur le Rhum importé
de Martinique par l'abbé.
En contrepartie,
le professeur du même nom que Bérenger, allait à
la place du curé, retirer ses mandats à Couiza.
Pas de gros dépôt
trésoraire à Rennes le Château pour Jean
Luc Robin.
Mais qu'en est-il
du fameux secret de Marie Dénarnaud, dont elle disait
à Corbu, qu'il le rendrait riche ? Selon jean Luc, ce
secret de Marie consisterait en un numéro de compte bancaire.
Mais alors pourquoi Marie ne s'en est pas servie lorsqu'elle
était sans le sou après la mort de l'abbé
? Parce que cette Banque était à l'étranger,
et qu'elle n'avait rien d'une routarde.
Dans la littérature
de Rennes, on peut lire qu'elle aurait dit : " L'argent
du curé, il faut pas y toucher, c'est sacré "
Jean Luc , je pose la question, qu'est ce que l'argent d'un compte
bancaire a de sacré ?
Marie a dit également à Corbu : " Avec ce
que monsieur le curé a laissé, on pourrait nourrir
le village pendant cent ans, et qu'il en resterait encore. "
Selon la conclusion de Jean Luc , il en découle une nouvelle
interprétation.
Marie vivait
depuis plusieurs années recluse dans une solitude insupportable.
Voyant la famille Corbu, pleine de chaleur humaine, elle aurait
par dépits essayé d'amadouer le chef de famille,
et les quelques rentes de Marie auraient bien fait l'affaire
de Corbu pour reprendre son industrie de sucre au Maroc.
S'il restait, elle le récompenserait au centuple. Cela
se rapproche du comportement naturel, d'une grand mère,
qui contre une bise de sont petit fils, lui promet le sou, sans
jamais lui donner.
Après
la conférence, débute un long débat où
l'on eu droit a des révélations fracassantes sur
le véritable secret de Rennes le Château, dont l'abbé
Saunière n'a pas grand chose à voir. Ces choses
se méritent, il fallait être là ! ;-)
Jérôme
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Les Animations de Rennes le Château
Le
rendez vous des chercheurs
Les animations
et conférences de l'été
29 août
2003 |
Conférence
Paul Tirand
La franc-maçonnerie audoise de 1757 à 1946 |
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Article
de l'indépendant
Vendredi 23 Mai 2003
Cassaignes
Expo avec l'artiste Caty Pech
Le vernissage de l'exposition
de l'artiste Caty Pech a eu lieu dimanche dernier. Le
maire de Cassaignes, André Rousseau avait
tenu à associer à cette manifestation Henri
Barbaza, président et Sylvie Clervoix, vice-présidente
de la communauté des communes du Pays de Couiza et Jacques
Hortala, conseiller général du canton.
La population du village ainsi
que les amis de l'artiste se joignaient à cette sympathique
réunion. Jacques Houpelain, peintre graveur,
professeur à la retraite de l'histoire de l'art, qui vit
à mi-temps à Cassaignes avait fait la critique
des oeuvres de cette peintre. Ce spécialiste fut surpris
de la qualité des tableaux de Caty avec une énergie
dynamique qui entraîne une similitude avec la calligraphie
chinoise.
M. Barbaza soulignait la vitalité du canton en
matière de culture. L'artiste, quant à elle, remerciait
ses parents dont le père fut son maître en peinture.
Elle nous confiait son attachement
à cette commune et participe également à
l'activité économique du village puisque Caty a
peint les cochons sur les boîtes de pâté ou
de boudin confectionnés par Anita et Claude Rodriguez,
éleveurs de porc gascons.
L'exposition se poursuit ce week-end;
le samedi 24 et dimanche 25 mai à Cassaignes, salle de
la mairie face au lavoir.
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Article du Lundi
5 Mai 2003
Compte rendu de la journée du 1er mai
à Opoul-Périllos
Jeudi 1er mai
était organisé la journée du projet Chronodrome
dont beaucoup de passionnés de Rennes le Château
ont eu connaissance par l'intermédiaire du film de George
Combe.
Ce rassemblement annuel au pied du château de Perillos
sur les hauteur de la commune d'Opoul (66600) a pour but de venir
vérifier si des hommes du futur auraient trouvé
le moyen de voyager dans le temps. En effet, 2005 sera l'année
du lancement du satellite KEO servant de balise temporelle, l'altitude
à laquelle il sera déposé par Ariane le
maintiendra en orbite terrestre pendant 50 000 ans, jusqu'à
son atterrissage signalé par une aurore boréale
artificielle. Cette oiseau de 80 cm de diamètre, battant
de ses deux panneaux solaires contient dans son ventre, une goutte
d'eau, de sang humain, d'aire, et une pincée de terre
arar. Le
plus important consiste à léguer à nos lointain
descendants, des messages de millier de personnes, afin qu'ils
puissent percevoir avec plus d'exactitude ce que fus leurs ancêtres
du XXI siècle. Parmi ces messages numérisés
plaqués sur support DVD, il y en a un spécial,
celui de Pascal Guillaume. Ce jeune perpignanais a eu la judicieuse
idée de poser une question simple à nos futurs
archéologues.
La question est la suivante : « Si à votre époque
vous avez la capacité de voyager dans le temps, venez
nous faire un signe un 1er mai au couché du soleil, entre
2000 et 2050, au pied du château d'Opoul-Périllos,
dans le sud de la France. »
La journée commence par un déjeuné près
de la mairie d'Opoul.
A 14H30 commence la conférence de Jean Pollion, auteur
d'un essai linguistique sur le langage des Ummites, extra-terrestres
d'apparence humaine venant de la planète Ummo. La conférence
se déroule normalement, plusieurs raccourci sur la genèse
de cette histoire dénonce bien l'esprit scientifique dont
se prévaut « Jean Paul Lion ». Qu'importe,
les gens ne sont pas là par hasard, la moitié des
spectateurs font partie de la liste de discussion du site Internet
www.ummo-science.org et sont venu des quatre
coin de la France. Plusieurs espagnols n'ont pas hésité
à faire le voyage afin de connaître cette géniale
histoire de postiers extra-terrestres qui est né dans
leur beau pays. Depuis 1966 des gens ordinaires (faisant partie
du même groupe ésotérique) commencent à
recevoir des lettres dont le contenu concerne divers branches
de la science, comme la physiologie,
biologie, neurologie, chimie, astronomie, théologie, sociologie,
signées du nom de leur différents auteurs Ummites,
suivi d'un tampon comportant leur sigle )+( .La vie courante
sur Ummo parait idyllique et amène à se poser des
questions d'ordre social. Fin des année 30, l'Espagne
est instable, différent partis francistes cherchent à
acquérir le pouvoir politique. Le régime du gouvernement
Ummite semble fonctionner admirablement sous une forme de communisme
utopique, dont le dictateur n'est autre qu'une jolie jeune femme
! Comprend qui pourra.
Jean Pollion nous montre par rétroprojecteur une photo
d'empreinte d'atterrissage, ainsi que les typiques soucoupes
volantes (made in Ummo). Un spectateur déclare qu'il n'y
a pas plus de deux ou trois Ummites dans la salle ! Les gens
se dévisagent du regard, certains sourient, d?autres cultivent
leur aire mystérieux laissant grandir l'imagination des
plus crédules. Le seul signe par lequel ont peut reconnaître
un Ummite, est sa voix, à la foi basse et nasillarde.
Par conséquent chaque personne de grande taille devient
immédiatement un suspect potentiel tant qu'il reste muet.
La conférence terminée, un débat commence,
les questions sont diverses et nombreuses. Le groupe de la liste
Ummo-science se retire entre eux pour poursuivre le débat
dans l'église du village. Yves Lignon était ici
incognito, tandis que Jean Pierre Petit fâché avec
le groupe, n'a pas dénié faire acte de présence,
peut être aurait-il fallu le prévenir plutôt
de la présence des caméras de France 3.
Pendant ce temps, André Douzet nous raconte l'histoire
d'un certain Raimond de Périllos chevalier de l'ordre
de Malt. Selon la légende, Raimond de Perillos se serait
livré sous terre à un combat contre un monstre
mi-homme, mi-lézard appelé Babaos.
18H00, je fait la rencontre d'une femme au verbe juste et précis,
il s'agit de la femme de Jean Pollion. Chose curieuse, elle est
en parfait désaccord avec la théorie de son mari.
Ex-directrice du département d'investigation à
la SOBEB (la société de recherche ufologique officielle
de Belgique) et linguiste de surcroît. Elle affirme que
le langage Ummite est du chinois retranscrit phonétiquement
afin d'être spécialement comprit par des espagnoles
!
Par conséquent cette spécialiste considère
l'affaire Ummite non pas com me une blague de trente sept ans,
mais comme le travail de manipulation d'un petit groupe d'individus
dont la motivations reste incomprise. Si elle a raison, ces personnes
méritent plusieurs prix Nobel, si elle a tord, les extra-terrestres
sont parmi nous depuis mars 1950.
19H00, le snack improvisé sur le parking en bas du château
rassemble les participants. Les saucisses grillées nous
réchauffe enfin, l'ambiance est bonne, sans plus. Pascal
Guillaume fait de son mieux pour être le plus accessible
possible avec les gens. Cependant personne ne daigne lever le
nez afin d'observer un signe de nos lointains descendants que
l'on a bien faillit oublier. Il faut dire que même les
organisateurs ne semble pas réellement attendre quoi que
ce soit, l'idée reste néanmoins très judicieuse.
Jérôme
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Article du 19
avril 2003
Conférence
sur Rennes le Château
A L'auberge
du chevalier à Camps sur l'Agly
Ce samedi 19
avril Daniel Dugès et Gérard Thome nous ont donné
une conférence à la maison du Chevalier, commune
de Camps sur l'Agly...
Faute de matériel informatique adapté, nous n'avons
pas pu établir la connexion internet comme prévu
nous demandons, aux internautes qui comptaient poser des
questions aux conférenciers, de bien vouloir nous en excuser
. . .
Nous étions une vingtaine environ
Le premier plat consommé, Daniel Dugès et Gérard
Thome commencent la conférence en nous parlant des fameux
parchemins, identiques et dans le style de ceux publiés
par Gérard de Sède dans " le trésor
maudit " , le sujet principal, la relation entre Marie Madeleine
et Jésus oriente petit à petit le débat
vers les Saintes écritures ; pourquoi Marie Madeleine
avait les moyens d'acheter de la mire ?
fort coûteuse
à l'époque. Puis l'ambiguïté sur l'identité
de marié lors des noces de Cana
Toutes les personnes présentes n' étaient pas tous
initiés aux mystères de Rennes ; les débats
ont par conséquent été unilatéraux
entre les conférenciers et quelques passionnés,
Nicolas de Léon, nous fait part de ses déductions
sur la nature des liens de parenté entre le Christ et
Barabas, puis la possibilité que le roi enterré
prés de Rennes les Bains soit en fait le Dieu Pan d'Arcadie
Le repas se poursuit
Daniel Dugès allume son ordinateur
, quelques parchemins apparaissent à l'écran ,
puis il nous fait un court résumé sur le décryptage
basé sur la Mortépée , la table de Vigénère
et les cavaliers. Le décodage instantané à
l'aide d'un logiciel de leur confection en a étonné
plus d'un
les âmes naïves qui prenaient comme
vérité les rumeurs sur l'origine des parchemins
ont bien failli nous faire une attaque cardiaque.
Bouche ouverte, les bras ballants, un long silence s'installe
. . . ( la démonstration était de taille) ; La
discussion reprend et s'oriente maintenant sur Poussin et ses
tableaux ; les lignes de force s'enchaînent les unes après
les autres sur l'écran , pour faire apparaître des
symboles , laissant à penser que Poussin était
un Grand initié et un mystique, comme le prouve cet oeil
d Horus si cher aux F.M.
D'autres tracés ( moins convainquant en ce qui me concerne
) sensés nous montrer qu'une société secrète
" l'AA " obsédait visiblement les peintres
L'ambiance est chaleureuse ; des questions finissent par s'échapper
de spectateurs trop réservés ; une boutade fuse
de-ci de-là, le ventre rond , les bouteilles vides, les
cerveaux en décomposition, signalent une conférence-débat
très réussie
Jérôme . . .
Je tiens
à vivement remercier notre ami Jeff pour l'accueil qu'il
nous a réservé , qui a permis ce moment privilégié
a marquer d'une croix (pâtée) . . .
Thome
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Article de l'indépendant
Samedi 8 Février 2003
Rennes-le-Château : retour sur
Le phénomène " pommes bleues "
Un spécialiste
des lieux explique le sens d'une indication laissée par
l'abbé Saunière.
"Le
fou à la ficelle". Voilà comment certains
habitants de Rennes le Château ont surnommé Alain
Feral. En plus de 20 années passées à étudier
sur place le mystère de l'abbé Saunière,
l'homme a eu l'occasion d'user ses décamètres.
"L'église du village est devenue mon bureau pendant
5 ans" indique-t-il. Il en est certain : "Je
suis la personne qui a le plus travaillé sur les lieux". sans jamais émettre de théorie.
Le secret de la crypte.
D'ailleurs, Alain Feral est moins en quête d'un trésor
que de sens. Un sens à donner à tous les indices
laissés par le célèbre Abbé à
l'intérieur même de son église et de son
domaine. Parmi eux, les fameuses pommes bleues. "J'ai
découvert cette expression en décodant un manuscrit
de Saunière" raconte le spécialiste. "Il
disait : "Par la croix et le cheval de Dieu, j'achève
ce démon de gardien à midi, pommes bleues ".
Le déchiffrage ayant été possible grâce
aux inscriptions gravées sur la dernière noble
du village, Alain Feral décide de se rendre à l'église
à 12 heures le jour de sa mort. Le 17 janvier.
Bingo. "A 11 heures 59 et midi une, les pommes représentées
sur l'un des vitraux apparaissent exactement sur la petite marche
du tabernacle grâce aux rayons du soleil. L'abbé
avait même tracé une cible! ".
Des explications farfelues.
Un phénomène curieux à observer, mais surtout
intéressant pour sa signification. "Il montre
quelque chose", insiste Alain Feral. Un emplacement
situé certainement dans la crypte courant au dessous de
l'église. "Cette dernière ne fut bâtie
qu'en 1200",explique le chercheur. "C'était
auparavant un caveau". Le lieu n'avait d'ailleurs rien
de secret : l'entrée se situait sur la place du village.
L'abbé la scellera au béton au début du
siècle dernier.
Car cette crypte a une singulière particularité
: "Seuls les nobles pouvaient y être enterrés,
et le roi en personne devait donner sa permission".
Une tombe de lignée royale résiderait même
en ces lieux. Aujourd'hui, plus personne ne sait pourquoi il
était jadis si important de reposer à Rennes le
Château. "Au moins 350 livres ont été
publiés sur la question" indique Alain Feral.
"Soit 350 théories, allant du Graal aux soucoupes
volantes". Vu le contexte, l'irrationnel prend vite
le pas sur la recherche.
Notre spécialiste se refuse donc à tout conclusion.
Préférant constater plutôt que déduire,
il précise que l'abbé Saunière a usé
de son étrange fortune pour reconstruire l'église
selon les plans d'origine. Des plans servant aussi à déchiffrer
le manuscrit. Le vrai secret de Rennes le Château pourrait
donc être bien antérieur à l'abbé
et avoir été tout simplement oublié au fil
des siècles.
En attendant le fin mot de l'histoire, le visiteur pourra réobserver
les fameuses pommes bleues le 17 juin prochain... Si le vitrail
obstrué au cours des rénovations est remis en état
d'ici là.
L.O.
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Droit
de réponse.
Le mot du spécialiste Fou à la Ficelle
( Brut de coffrage )
Trois petites
remarques.
1 - Mr L.O. J'ai le renseignement sur le sujet pour lequel
vous vous êtes déplacé et sur lequel vous
deviez faire un papier : j'ai vérifié, Rennes
le Château, c'est dans l'Aude !
Ellipse 1
Rennes le Château se trouve bien dans l'Aude.
(11190 )et il s'y passe bien un " truc ( ? )avec le soleil
" comme vous me l'aviez demandé ( voir Jean Blum
années 90 ), en relation avec le plan d'une seconde église
projetée sur les agencements du jardin du Calvaire par
Bérenger Saunière ( voir plans 1984 ) qui,
elle-même, cette seconde église, est en relation
avec le décodage primaire d'un manuscrit - appelé
généralement " petit manuscrit " - réalisé
au XVII ème siècle, sur papier ordinaire dont le
lettrage, précautionneusement disposé correspondrait
approximativement au lettrage employé à l'époque
du sujet développé par ses auteurs à l'aide
d'un habile chiffrage.
Asseyez-vous.
2 - Prenez la
peine d'écouter ce dont vous entretient votre interlocuteur
" spécialiste " ( ?!), Mr L.O., sans
lui répéter à tout instant que vous êtes
pressé. C'est inquiétant, et démoralisant.
Plus étiré, ça vous aurait permis de noter
les titres de quelques bouquins indicateurs ( G. de Sède.
Hé oui, pour le pétard. Corbu-Captier, pour
l'héritage. M.Vallet pour la documentation ) etc.,
il est vrai un peu étouffés, au centre de la saga
toute poétique à laquelle se livre un grand nombre
d'auteurs.
Ellipse 2
(retour à la fin de l'ellipse 1 : à
l'aide d'un habile chiffrage
)
Suite.
Espace
Revenons à notre sujet :
Mise à ras plus ou moins efficace des données recueillies
dans le petit manuscrit par l'abbé Saunière
!
Donc, bouleversement de l'église principale et rejet (bien
ordonné) des anciennes pièces du bâtiment
insérées à l'envers désormais dans
le plan de cette église au sol du Calvaire.
Martèlement de toutes les inscriptions tombales se trouvant
dans un périmètre précis du cimetière.
Fermeture des lieux, des indications et des accès développés
dans le petit manuscrit.
Personne n'eut pu mieux faire pour figer l'histoire. Figer ?
pas tout à fait
Car l'église désossée des siècles
passés, aux pièces maintenant mises envers, est
toujours là, disposée au regard, dans les jardins
de l'abbé Saunière ; le petit manuscrit
dans les livres ; et la tombe de Marie de Negri d'Ables d'Hautpoul
toujours sur la feuille au frottis, relevée par la SESA
avant sa disparition.
Et cette insolite immobilisation frappée désormais,
du sceau du passé va permettre à Bérenger
Saunière de rédiger alors sous son seul nom,
à sa convenance et selon ses principes (
!) le second
tome de l'histoire transposée du premier.
3 - Et nous aurions
alors, Mr L.O., non seulement pu développer rapidement
ce second volet mais nous arrêter enfin sur le sujet précis
pour lequel on vous avait dépêché auprès
de moi.
Le temps qu'une minute passe et qu'un nuage s'arrête pour
laisser filer trois pommes bleues, pas plus, le temps d'une minute,
à leur poste de garde :
au seuil du Tabernacle, à l'heure dite, Midi, les
17 janvier et 17 juillet
et dans le fidèle lettrage
de l'ouvrage signé Bérenger Saunière : "
son église et le grand manuscrit. "
Un petit article de fond, quoi !
Je ne vous en aurais pas voulu et j'aurais même pu, au
vu de certains documents, vous expliquer ce que contient, un
tabernacle, normalement.
Vous
l'avez échappé belle !
Alain
Feral
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Article du Mercredi
05 Février 2003
Conférence du lundi 03 février 2003
à Limoux sur Rennes-le-Château
Lundi 3 février
dans la salle Louis Coste de Limoux à 21 h 00, Mr André
Galaup, nous a donné une conférence sur rennes
le
château.
Suite au reportage de France 2, il s'est senti obligé,
de remettre de l'ordre dans l'affaire Saunière. En effet
Mme B
. à
Bugarach a déclaré que des extra-terrestres étaient
venus rencontrer Saunière pour lui donner des informations
Le but de Mr Galaup, ex-journaliste du midi libre, et conseiller
municipal de Limoux est de montrer au grand jour les documents
en sa possession, afin de couper l'herbe sous le pied des mystiques.
Il nous a montré entre autre une lettre de neuf pages
découverte par hasard une semaine avant, écrite
de la main d'un ancien
instituteur de Rennes le Château et ami de marie Dénarnaud,
où il a relevé certaines anecdotes sur Saunière
et Marie, non
explosives, mais très intéressantes tout de même.
On y apprend que Saunière allait très souvent pêcher
le Barbeau dans le
ruisseau des couleurs, où il relevait les paramètres
du temps, la couleur de l'eau, de l'appât, la direction
du vent, l'heure de la
prise, etc.
Quand les maçons de Mr Bot travaillaient, Saunière
était toujours derrière eux :
_votre mur penche Mr Bot
_Si il penche.
_Redressez-le !
Le gros problème du curé c'était de toujours
trouver quelque chose à dire aux personnes qu'il saluait
au village, il allait voir tout
le monde, mais c'était dur pour lui de ne pas parler d'autre
chose que de la pluie et du beau temps. Cela le tracassait
beaucoup.
Vous savez, dit Marie :
_ On dit que Mr le curé a trouvé un trésor,
mais il n'y a jamais eu d'or ici, tous ce que le curé
a reçu, c'est les femmes qui le lui
ont donné.
A l'époque, il y avait de belles fêtes ici, vous
savez, ils buvaient autant de rouge que de blanc et ils dansaient,
oui ils dansaient !
(Imaginez Saunière dansant la bourré avec Boudet
; -)
Saunière aimait ma cuisine, il disait que j'étais
un vrai cordon bleu, mais que je me donnai trop de travail, à
moi-même, à ma
mère, et a ma soeur de lait Julia.
Saunière couchait toujours au presbytère, jamais
à la villa. Il la réservait pour ses invités.
Son meilleur ami avait toujours un
bureau, une plume et un encrier plein d'ancre à sa disposition
dans sa chambre de la villa.
Saunière était sévèrement royaliste..
Marie était plus intelligente qu'on l'aurait supposé
:
_Si les femmes avaient le droit de vote, le maire nous respecterait
davantage.
_ Je regrette de ne m'être pas mariée, aujourd'hui
j'aurai des enfants et je ne serais pas toute seule.
Ensuite il parle de la famille Corbu de Bugarach, où l'auteur
approuve le contrat de viager.
Et nous dit que c'est lui qui a fait l'installation électrique
du presbytère.
Le conférencier
relève le contre sens dû au fait que si Marie aimait
le curé, elle n'aurait pas repoussé trois foi le
règlement pour
la fabrication du cercueil de l'abbé.
La conférence continue, avec des avis divergeant fortement,
pour Galaup, Redhae est une colline de Limoux, et donc la Capitale
Wisigoth serait en fait Limoux, un monsieur du cru lui répond
que c'est sur une carte postale, donc un document non officiel,
etc.
Galaup, nous parle d'une statue d'Asmodée dans l'église
d'une ville à mille km d'ici. Finalement par l'intervention
de Nicolas, il
finit par nous montrer la photo sur l'ordinateur qui l'a accompagné
tout au long de la conférence. C'est bien une sculpture
en
pierre d'Asmodée identique en tout point a celui que nous
connaissons, qui de plus soutien un bénitier, mais qui
n'est pas en
forme de coquille.
Mr Galaup nous fait pare de petites anecdotes passées
lors de ces recherches, dans les année 50 en compagnie
de Jean
Claude, de Rignies, de Sède, etc.
, Mais nous confit-il,
nous n'avons jamais rien trouvé, si non des bouteilles
vide ! ;-)
On a bien ressenti l'humeur agréable de Rennes récemment
couronnée, où les chercheurs étaient amis,
et n'hésitait pas à
débarquer à l'improviste à 4 h 00 du mat
chez le copains.
Bref, pour conclure, je dirai qu'André Galaup commence
sa conférence en disant qu'à Rennes il n'y a rien,
si non des fous, puis
termine en racontant toutes les découvertes d'Or qui ont
été faites il y a une dizaine d'années.
Seul petit reproche, il veut
rassembler les chercheurs ayant de véritables documents
pour tout mettre en commun et avancer dans la résolution
du
mystère. Il dit que les chercheurs ne partagent pas assez
leur découvertes, mais quand on lui demande qu'elle est
la ville où il
a trouvé la statue d'Asmodée, ils ne veut pas la
communiquer.
Très bonne conférence, comme quoi ça n'est
pas que dans les jupes de Rédhae que l'on y découvre
les dessous.
Il sera prochainement possible de télécharger la
conférence qui à durée 2 h. Mais cela représente
un très gros travail, alors ne
soyez pas pressés. Sur le site renne-le-chateau.fr.st
Jérôme
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Article de la
dépêche du midi
Mardi 21 Janvier 2003
Rennes-le-Château
La journée des "pommes bleues"
Chaque 17 janvier,
un phénomène lumineux se produit dans l'église
de Rennes le Château : par le jeu de la lumière
du soleil qui passe à travers un vitrail, des "pommes
bleues" apparaissent devant le tabernacle. Ce qui attire
plusieurs dizaines de personnes, voire près de deux cents
comme cette année. Ce phénomène est dû
à une intention architecturale de l'abbé Saunière,
lorsqu'il restaura son église. Ayant fait ses découvertes
grâce à un message codé gravé sur
la tombe de Marie de Négri d'Ables, décédée
le 17 janvier 1781, il décida de perpétuer ainsi
sa mémoire.
Malgré une détérioration du vitrail, à
la suite d'une restauration, et une diminution du phénomène,
ce dernier déplace toujours les curieux, les passionnés,
les chercheurs ou les simples visiteurs.
Près de deux cents étaient présents cette
année, venus spécialement des quatre coins de France,
et réunis autour d'un repas -rencontre à l'hostellerie
de Rennes les Bains, et ce grâce à l'initiative
de Jean-Claude De Brou. "D'habitude, c'est toujours informel;
on finit dans un "restau" improvisé. Cette année,
on a organisé ce repas pour permettre des échanges
entre chercheurs, mais aussi une rencontre avec des écrivains
ayant publié sur des sujets historiques locaux".
Etaient présents : Franck Marie, André Douzet,
Georges Kiess, Marc Mirabel, Jean-Pierre Clervoix ( maître
en musique maçonnique ), la famille Captier héritière
de l'abbé, Jacques hortala, André Salaün,
Alain Ferral, Michel Vallet, Robert Thiers et les producteurs
du film sur Rennes le Château.
Le premier étage de l'Hostellerie s'est ouvert sur une
exposition archéologique et historique sur le site de
Rennes le Château et des environs, faisant l'objet d'explications
de chercheurs passionnantes. Ce qui reste étonnant, c'est
l'éclectisme des motivations qui ont conduit ces presque
deux cents convives dans ce lieu, le même jour.
C'est la passion de la recherche qui anime certains comme Mme
Sanchez de Carcassonne qui fouille en archives depuis près
de huit ans. C'est plutôt une quête d'ordre spirituel
qui motive Jocelyne, venue d'Arles avec son mari: "je suis
croyante, mais pas pratiquante, dit-elle. La première
fois que je suis entrée dans l'église, j'ai ressenti
quelque chose d'inexplicable. J'avais l'impression de revenir
dans un endroit connu et que je devais retrouver quelqu'un. Pour
moi, c'est Marie-Madeleine".
Il y a aussi François de Rouen, chercheur a double titre
: d'abord, professionnellement, ensuite sur le mystère
de Rennes le Château. "J'applique la même méthodologie,
dit-il. Le trésor a évolué depuis vingt
ans : de pièces d'or, il est devenu trésor spirituel,
puisqu'il est question de secret religieux".
Ce 17 janvier, à Rennes le Château, dans l'église
silencieuse, tout le monde était là, à attendre
la mystérieuse lumière, comme pour un rite tribal.
Et si ce monde matérialiste à outrance n'avait
pas occulté cette part qui nous fait humains d'entre toutes
les créatures : la part du rêve et de l'inconnu
?
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page
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Article
de la rencontre du Vendredi 17 janvier 2003
Rendez-vous était
fixé à 11 h 30 à Rennes-le-Château.
A 10h 30 le parking est déjà plein. De gens qui
ont entendu parler de cette réunion sont présents,
venant de tous les
horizons, Paris, Lille, Tours ,Auxerre, Lyon, et nos amis anglais,
allemands espagnols, italiens, et plus près de chez nous,
de l'Ariège et des Pyrénées Orientales .Près
de 300 personnes participent à cette réunion .Une
seule difficulté:trouver une place pour se garer. Plus
on approche de 13h et plus la foule amassée devant l'église
devient dense. Mr Jean-François Lhuillier maire
de Rennes-le-Château est présent .Les consignes
sont simples:respecter les lieux. Les personnes présentes
dans l'église sont disciplinées dans l'ensemble.
Treize heures ,enfin et le pommier aux pommes d'or et trois
pommes bleues apparaît. L'église est pleine
et la difficulté est d'approcher l'autel pour observer
le phénomène commenté par André
Douzet .Beaucoup de gens ne peuvent l'observer à cause
de la foule.
Ensuite, tout le monde se dirige vers la tour Magdala
pour la photo de groupe, dans la bonne humeur.
Après plusieurs prises de vues rendez-vous à l'Hostellerie
de Rennes-les-Bains où un apéritif nous attend.
Arrivé là décision difficile pour notre
Webmaster, 120 personnes avaient réservées leur
place, l'Hostellerie peut en accepter 120 (en fait 130 sont acceptés)
soixante dix sont refusés faute de place.
Jean-Claude prend le micro et remercie vivement les participants
, les politiques ,les écrivains et Bernard de l'Hostellerie
pour leur participation à cette réunion et en particulier
Mr Robert Coudié Maire de Rennes-les-Bains pour
sa contribution à cette journée sans contreparties.
Daniel Dugès prend le micro à son tour et
nous dit quelques mots sur son groupe de recherche, sur les parchemins
et l'exposition.
Puis c'est le tour de Mr Jacques Hortala conseiller général
du canton de Couiza qui d'entrée souligne l'énorme
succès de cette journée et le phénomène
"pommes bleue".Etant professeur à Couiza l'intéressement
à l'histoire de Rennes fait parti de sa vie"Il y
a quelque chose à Rennes, c'est sur déclare Mr
Hortala. Nous essayons de développer notre région
,nous cherchons une vérité historique et nous débouchons
sur quelque chose de fantastique et merveilleux .Vraiment cette
journée est un succès".
Jean-Claude nous indique que l'exposition est ouverte et se trouve
au premier étage de l'Hostellerie.
Une exposition sympathique nous attend.
Une vitrine ( collection privée de Mr André
Douzet ) contenant une chouette en bronze, des dizaines de
pièces en argent ,en cuivre ,en bronze de plusieurs époques
,une bague avec un sceau et divers objets trouvés sur
le site de Périllos.
Une maquette commandée et exécutée sous
les directives de Saunière
La tête sculptée qui se trouvait au Cap de l'Homme
(aimablement prêtée par le musée de Rennes-les-Bains)
Plusieurs oeuvres originales de Jules Vernes dont un livre
( Clovis d'Ardentor ) dédicacé à son fils
De nombreuses lettres (correspondance entre divers curés
de l'époque) dont une ne laisse aucun doute sur la culpabilité
de Saunière dans l'assassinat de l'abbé
Gélis.
Divers manuscrits aussi intéressants les uns que les autres
Des tableaux dont l'un décrit un temple circulaire, bref
une exposition à voir absolument.
Ensuite tout le monde passe à table.
Au court du repas plusieurs intervenants prennent la parole:
André Douzet nous parle de sa maquette et du site
de Périllos.
Daniel Dugès nous livre le système de décodage
du grand et du petit parchemin à l'aide de la table de
vigenère et le saut du cavalier ,connu des chercheurs
depuis pas mal de temps .Il nous donne des détails sur
les correspondances entre curé (lettres exposées).
André Salaün nous donne son opinion sur le
grand parchemin qu'il croit vrai et le petit parchemin qu'il
croit faux car des caractères ont été rajoutés
Jean-Claude pose une question gênante: Qui a tué
Gélis ?
André Salaün répond habilement sans
donner de nom mais ne laisse aucun doute dans les esprits.
Robert Tiers prend le micro et nous parle de son tableau
avec passion.
André Pous lance un appel à tous les chercheurs
en leur demandant de se regrouper en association et d'unir leurs
efforts et leurs trouvailles car chacun d'entre nous a trouvé
un petit morceau du trésor.
Il lance un appel à la prudence et conseille aux chercheurs
qui entrerons dans les lieux de bien refermer la porte en partant
pour que cela ne nous pète pas à la gu.... (selon
son expression)
Michel Vallet nous fait un court commentaire
sur l'association Pégase qui pourrait éventuellement
répondre à la proposition de Mr Pous, Marc
Mirabel chef d 'état major au ministère de
l'intérieur et grand passionné de l'histoire de
Rennes, qui a bien connu Pierre Plantard et Henry
Buthion ainsi que Philippe de Cherisey, nous demande
d'avoir en cette journée une pensée affectueuse
pour ceux qui nous ont précédés , Noël
Corbu, Henry Buthion, Pierre Plantard, Philippe
de Cherisey sans oublier....M.....Laborie sans qui
nous ne serions pas présent ce 17 janvier.
Un homme dont je ne connais pas le nom prend la parole dit qu'il
est éleveur dans l'Ariège et entouré de
vaches et que le plus beau trésor est en nous et qu'il
nous permet de nous réunir aujourd'hui.
Tout le monde applaudit.
Jean-Luc de Tours (BELATAX) nous demande qu'est ce que
le carré sator ? Il nous donne sa version indiquant un
lien avec les charpentiers.
Mr Jacques Hortala nous rappelle que l'emblème de Rennes-le-Bains
est la croix de St André et rend hommage à
Gaston Sudre.
Jean Lecousse ( le plus ancien chercheur depuis 1956 )
nous affirme"Je n'ai rien trouvé mais je suis heureux
d'être parmi vous et remercie Jean-Claude organisateur
de cette réunion ..
Michel Henry interpelle Jean-Claude et lui demande ce
qu'il a trouvé.
Celui-ci répond qu'il n'a rien trouvé et en profite
pour remercier ses amis intéressés par l'histoire
venu s'installer dans la région: Bernard Vannier,
Jean-Pierre Clervoix et son épouse dont la famille
a côtoyée Emma Calvé, quelques autres
et Jean Lecousse qui a creusé à la dynamite
le souterrain qui passe sous l'église de Rennes et débouche
sous le presbytère.
"Mais j'avais l'autorisation du Maire "répond
jean Lecousse provoquant un éclat de rire général.
Le repas étant terminé certains s'en vont d'autres
se dirigent vers le bar de l'hôtel. Des groupes se forment
et les discutions s'animent à nouveau. Chacun raconte
ses expériences personnelles et les anecdotes ne sont
pas en reste. Cette réunion se termine à 2 heures
du matin. Une journée à marquer dans les annales.
Jean-Claude
Daniel
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