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Informations diverses

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La Messe anniversaire de l'association Louis XVI

saint jean baptiste

     Ce samedi 21 janvier 2017 était commémoré, civilement s’entend, le centenaire de l’anniversaire de la mort de Bérenger Saunière en son village de Rennes-le-Château. Conférences et agapes faisaient partie du programme et le dimanche pour clore cette joyeuse manifestation, on se déguisa.

Souvenons-nous simplement que l’abbé était un fervent monarchiste, légitimiste de surcroit prouvant son engagement à maintes reprises et qu’il resta fidèle à celui-ci entretenant des contacts étroits avec différents représentants de la cause tant dans sa région qu’à Toulouse ou se trouvaient d’ailleurs la plupart de ses fournisseurs…

Mais il apparait utile de rappeler que cette date revêt une importance de premier ordre pour les fidèles, en particulier ceux de l’association Louis XVI qui tous les ans célèbre cet évènement dans toutes les régions en conviant à une messe anniversaire dédiée à Louis XVI, la famille Royale ainsi qu’aux martyrs de la Révolution Française. C’est en effet ce jour funeste où le souverain avec un grand courage monta sur l’échafaud. Depuis, sans discontinuer, la flamme du souvenir est entretenue dans le plus profond recueillement.
louis xviAinsi, cette année, la messe de requiem était célébrée à Toulouse en la chapelle Saint-Jean Baptiste, dans la forme extraordinaire du rite romain, par le chanoine Thibaut d’Aviau de Ternay. Ainsi à 11h.30 l’assemblée des fidèles s’est retrouvée 7 rue Antonin Mercié, à deux pas du musée des Augustins pour participer à cet évènement. Ici nous sommes dans l’Institut du Christ Roi Souverain Prêtre, jadis siège des Pénitents Gris de la ville Rose.
Bravant le froid sévère qui régnait dans la cité, les nombreux fidèles, plus de trois cent, ont assisté à cette belle messe agrémentée de fort belle manière par une  excellente chorale faisant retentir tantôt le Salve Régina, des chants sacrés et l’Avé Maria repris en chœur par l’assemblée. Puis ce fut une vibrante homélie lue par le Prêtre et écoutée attentivement par les fidèles.
Bientôt, il fut l’heure de se séparer mais nombreux furent les participants à s’attarder volontiers sur le parvis pour deviser avant d’être conviés à un buffet campagnard qui se tint au Château de Thégra. Une conférence de grande qualité devait s’ensuivre avec comme thème « Charles X, Le dernier Roi »  menée par Christophe Marquez conservateur du musée de Muret. Il est à noter qu’un émouvant document représentant de Testament de Louis XVI sur son portrait fut remis aux fidèles à l’issue de la commémoration.
Le Roy est mort, Vive le Roy !


Fernand de Bazel

 


La route alchimique de l'abbé H. Boudet ou la parole de l'Ecclésiaste


... le secret de Rennes, est il un secret alchimique
En 1979, un ouvrage ancien a vu sa réédition "Les classiques de l'occultisme", que doit on comprendre dans tout cela car il s'agit du livre du très fameux curé M. Boudet, curé de Rennes les Bains et publié en 1886 sous le titre "La vraie langue celtique et le Cromlech de Rennes les Bains". Il semble donc que certains veulent orienter l'adepte à comprendre la parole ancienne sur la route lasse et silencieuse de Rennes les Bains, au sein du Cromlech où se trouverait peut être la matière première de I'OEuvre alchimique.
Vouloir faire de ce "livre de papier" un livre ouvert analogue à quelque ouvrage, d'Abraham le juif, voilà une démarche bien singulière qu'il est intéressant d'analyser et que nous allons faire.

Le livre de pierre de la tombe Boudet à Axat
Sur la tombe Boudet à Axat , se trouve un livre fermé, qui est de pierre, alors que dans l'église de Rennes le Château qui serait l'illustration de la "Vraie langue celtique" d'après Plantard de Saint Clair, se trouve le livre ouvert, à la fois sur le tableau de Marie Magdala et sur la chaire, là même où se donne la parole de l'ecclésiastique. Que signifie cette abondance de livres ? Au cours de cette affaire, alors que l'on nous annonce dans un autre que les 2 manuscrits publiés par tous les auteurs sont des faux fabriqués par Toscan du Plantier (Cf. J. L. Chaumeil et son triangle d'Or des Templiers).
L'Épitaphe de la tombe Boudet présente le texte suivant: "Ici repose Henri Boudet, ancien curé de Rennes-les Bains, décédé le 30 mars 1915, à l'âge de 78 ans.

Il fut prêtre selon la cour de Dieu, bon, affable envers tous, aimé de Dieu et de ceux qui l'ont connu. Sa mémoire est en bénédiction".
Suivent les lettres: E.C,C.I, II et la prière : Miséricordieux Jésus, donnez lui le repos éternel. Un livre de pierre fermé, en bas et à droite de la pierre tombale porte la mention: M.I.O.X.I.
L'épitaphe de Boudet renvoie à la parole de l'ecclésiaste, fils de David, roi de Jérusalem, chapitre I, verset II: "On ne se souvient pas de ce qui est ancien : et ce qui arrivera dans la suite ne laissera pas de souvenir chez ceux qui vivront plus tard"
Ce qui est ancien, pour Boudet, c'est sans nul doute "la vraie langue celtique conservée dans la toponymie locale de Rennes les Bains et pour s'en souvenir il faut se référer au livre de l'ecclésiastique et à son illustration dans l'église de Rennes le Château, car tout a été dit dans la pierre de cette église et dès lors le livre de papier peut disparaître, le "secret" est incrit dans sa nouvelle demeure philosophale qui devient en fait une nouvelle cathédrale du mystère. .

Boudet a t il connu le secret de la Pierre philosophale ?
A Rennes le Château, dans l'église, le Baptiste tient une coquille St Jacques sur la tête de Jésus sous la gloire de quatre anges: Boudet avait fait placer cette stèle sur les fonds baptismaux. Quelle relation existe entre le livre fermé et St Jacques de Compostelle ? La réponse est dans les demeures philosophales de Fulcanelli
"St Jacques, revêtu du manteau, la musette au côté, coiffé du large chapeau orné de la coquille, tient en sa main gauche le livre fermé."
Boudet fut aussi celui qui baptisait au nom du Christ en son église de Rennes.

Fulcanelli poursuit: "ce livre fermé, symbole parlant du sujet dont se servent les alchimistes et qu'ils emportent au départ... ; le livre signé de figures permettant de le reconnaître, d'en apprécier la vertu et l'objet - le fameux manuscrit d'Abraham le juif, dont Flamel prend avec lui une copie des images, est un ouvrage du même ordre et de semblable qualité.
Le même signe figure sur la pierre tombale d'Axat, le livre fermé est emporté au départ de la mort.
Dans le "mystère des cathédrales" , Fulcanelli va nous éclairer : "La matière première de l'oeuvre exprimée symboliquement par un livré tantôt ouvert, tantôt fermé, selon qu'elle a été travaillée ou seulement extraite de la mine. Ainsi se dévoile la solution logique de toute cette affaire.
1 - Le livre fermé de Boudet symbolise le minerai brut extrait d'une mine de Rennes les Bains, et qui est la matière première du Grand OEuvre
2 - Le livre ouvert de Rennes le Château, indique que cette matière y a été travaillée ;alors viennent à l'esprit les découvertes de métaux fondus ou de creuset en divers lieux de Rennes ou dans la maison natale de Saunière.

Emma Calvé et sa mission à Rennes le Château
En 1893 la cantatrice est criblée de dettes; en 1894 elle achète le château de Cabrières après sa rencontre avec Saunière. L'enjeu du voyage et de sa liaison avec Saunière n'était il pas la récupération pour le compte de la société théosophique ou de Stanislas de Guaita d'une copie des parchemins du pilier de l'église qui pourraient bien avoir été "le fameux livre d'Abraham le Juif'.
Car n'oublions point:
- que c'est à Cabrières que seront menées des recherches pour retrouver ce fameux livre d'Abraham,
- que c'est Stanislas de Guaita, ami de la cantatrice, qui fonda en 1888 l'ordre kabbaliste de la Rose Croix et qu'il possédait une copie de "La sagesse divine" qui serait la seconde partie du livre d'Abraham le Juif.
- que les nazis récupérèrent toutes les archives de la société théosophique, quai Rapp à Paris,
- que les manuscrits de Rennes, qui ne sont pas ceux publiés à ce jour étaient entourés de 7 sceaux: "Ce sont les marques des sept opérations successives qui permettent de l'ouvrir ; chacune d'elles brisait un des sceaux de fermeture" précise encore Fulcanelli.
II est fort vraisemblable que le secret de Rennes est un secret d'ordre alchimique et que la fable du trésor wisigoth soit une simple transposition de lieu entre Carcassonne et Rennes. Cependant la région de Rennes-les-Bains peut renfermer un dépôt celtique lié à quelque lieu sacré du cromlech qui n'existe d'ailleurs que sous la forme d'alignements de pierres dressées.
Les quelques découvertes monétaires sont dûes au pillage ou violation de tombes antiques, au site romain des bains de Montferrand ou à la voie de communication importante du vieux chemin d'Espagne.
Alors, me direz vous, les tentations des bergères et les pommes bleues ne seraient que des élucubrations sur des documents que l'on reconnaît aujourd'hui comme faux !
L'enjeu de Rennes est un enjeu alchimique où est passé le livre ou une copie du fameux livre connu de Flamel, livre qui est censé renfermer la révélation de sciences profanes et celle des mystères sacrés et Rennes ne fut qu'une étape bénie - dirait Fulcanelli - longtemps attendue, longtemps espérée où le livre est enfin ouvert, le Mont Joyeu à la cime duquel brillait l'astre hermétique.

R.D'ORBIEU



DE LA VERITABLE ORIGINE DU " CHRIST AU LIEVRE "

Il existe dans l'église de Rennes les Bains, un tableau anonyme représentant La Pietà.
Un thème religieux célèbre qui fut abordé par de très nombreux peintres.

Ce tableau est appelé " Christ au Lièvre " par les chercheurs en raison de la tête de lièvre que l'on devine sur le genou droit du Christ.
Ce tableau a été présenté, par Pierre Jarnac, comme étant une copie d'un tableau de Van Dyck, présent au Musée d'Anvers.

Plusieurs tableaux de Van Dyck abordent le thème de la Lamentation du Christ.
Comme par exemple :

La Lamentation du Christ " - Musée d'Anvers


La Lamentation " - 1618 - Vienne

 

… Ou la déposition :

La Déposition " - 1634 - Munich

Mais le tableau correspondant le plus à celui de Rennes les Bains est sans conteste " La Pietà " du Musée d'Anvers- Pierre Jarnac (Histoire du Trésor de Rennes le Château) :

 

Il a depuis été convenu que plusieurs " améliorations " ont été apportées par le peintre anonyme du tableau de l'église de Rennes.
En effet si l'on compare " La Pietà " de Van Dyck avec " Le Christ au Lièvre ", des différences notables se présentent à nous. Comme par exemple :
- La musculature accentuée de Jésus
- Le " lièvre " n'est pas visible sur l'œuvre de Van Dyck
- L'absence de Marie-Madeleine et du disciple ; MM est remplacée par une pierre ou un rocher
- La banderole présente près du plateau est en dessous de celui-ci sur le tableau de Van Dyck (on y lit mal l'inscription) alors qu'elle est au dessus du plateau sur le " Christ au Lièvre ".
- Le sang coule des plaies du Christ (" Christ au Lièvre ")
- L'inversion du tableau.

D'autres différences seront surement remarquées par les observateurs, mais je n'ai citées que les principales.

Antoine Van Dyck, comme beaucoup d'autres peintres, a fait reproduire ses toiles en gravures par les plus grands graveurs de son époque.


Il n'est donc pas étonnant de retrouver des gravures d'après les œuvres de Van Dyck dans différents musées.
La chose intéressante est de constater qu'au Musée de la Royal Academy de Londres se trouve une reproduction de " La Pietà " de Van Dyck faite par un certain Paulus Pontius dans le milieu du XVIIème siècle.
Cette reproduction nous offre une ressemblance plus que frappante avec le " Christ au Lièvre " :

Cette reproduction montre le fameux " lièvre " ainsi que de nombreux autres détails (muscles, vêtements, clous, branches…) que l'on retrouve sur le " Christ au Lièvre " !
C'est donc bien Paulus Pontius qui a inversé le tableau de Van Dyck. On remarque la banderole près du plateau un N inversé… C'est en fait toute l'inscription " INRI " qui est à l'envers, comme dans un miroir.
Le texte d'époque en dessous nous indique bien que cette gravure est tirée de l'œuvre de Van Dyck. Alors pourquoi ne pas avoir remis le " INRI " à l'endroit, comme l'a fait l'auteur du " Christ au Lièvre "?

Les latinistes seront les bienvenus pour traduire l'inscription latine.


Qui est Paulus Pontius ?

Né à Anvers (Flandres), le 27 mai 1603, il est également connu sous le nom de Paul Du Pont ou Paul Ponce.
Il est probablement le graveur le plus célèbre en ce concerne les œuvres de Rubens et Van Dyck. A Anvers, Pontius étudia les techniques de gravures sous Lucas Vorsterman (1595-1675). Il a d'abord étudié la peinture pour ensuite s'orienter vers la gravure. Il fût également l'élève d'Osias Beert l'aîné (1580-1624).
Il devint le graveur principal de Rubens (1577-1640) à l'âge de 20 ans et sa première gravure de Rubens (" Susannah and the Elders ") date de 1624. Durant les vingt années qui suivirent, Rubens fit graver par Pontius beaucoup de ses peintures les plus célèbres. Paulus Pontius devint un maître de La Guilde d'Anvers en 1626.
Les gravures de Pontius à partir du travail de Van Dyck (1599 - 1641) sont également très distinguées. Au total, il grava environ quarante portraits pour Van Dyck (lui-même assistant de Rubens), incluant un bon nombre pour " L'Iconographie " de ce dernier.


Inclus dans ces portraits figurent ceux de Peter Paul Rubens, Gérard Seghers, ainsi que des personnages royaux tels que Gustavus Adolphus Roi de Suède, Marie de Médicis Reine de France, et Frederick Henry Prince d'Orange.
Un de ses portraits les plus intéressants est bien sûr celui de Paulus Pontius lui-même fait par Van Dyck.

Bien que le portrait fût dessiné par Van Dyck, on peut être sûr que Pontius était parfaitement au courant des caractéristiques du sujet. Avec son utilisation des lignes et des contrastes de teinte, ce portrait est un remarquable exemple de l'art baroque flamand.

Il travailla également pour Titien et Velasquez.
Paulus Pontius est mort à Anvers (Flandres), le 16 janvier 1658.

Certaines de ses œuvres sont visibles à l'adresse suivante :
http://www.racollection.org.uk/ixbin/hixclient.exe?submit-button=search&search-form=artist_record.html&_IXARTIST_=8637&_IXSESSION_=TVMw6LgfJoO


Le tableau de Rennes les Bains est indubitablement une reproduction extrêmement fidèle de l'œuvre de Pontius et NON une copie directe du tableau de Van Dyck comme il est communément admis.

Revenons un instant sur le " Christ au Lièvre ".
On constate que le côté gauche du tableau commence (ou se termine) juste avant l'orteil du pied de Jésus.
Si l'on applique le même encadrement à l'œuvre de Pontius :

… On constate alors que le disciple n'est plus là.

Mon analyse est donc que le tableau de Rennes les Bains n'avait pour but que " d'encadrer " 3 personnages : Jésus, Marie et Marie-Madeleine.
La pierre est donc, à mon sens, clairement une substitution de Marie-Madeleine.

Il ne s'agit pas pour l'instant d'impliquer Paulus Pontius dans la transmission d'un message quelconque, mais dans un souci d'exactitude, je pense qu'il est important de prendre en compte le fait que le tableau de Rennes les Bains (et probablement celui de l'Eglise de Sarzeau, endroit cher à Maurice Leblanc) sont des copies DIRECTEMENT inspirées de l'œuvre de Paulus Pontius.


Mon analyse est donc que le tableau de Rennes les Bains n'avait pour but que " d'encadrer " 3 personnages : Jésus, Marie et Marie-Madeleine.
La pierre est donc, à mon sens, clairement une substitution de Marie-Madeleine.

Il ne s'agit pas pour l'instant d'impliquer Paulus Pontius dans la transmission d'un message quelconque, mais dans un souci d'exactitude, je pense qu'il est important de prendre en compte le fait que le tableau de Rennes les Bains (et probablement celui de l'Eglise de Sarzeau, endroit cher à Maurice Leblanc) sont des copies DIRECTEMENT inspirées de l'œuvre de Paulus Pontius.


La Pietà - Van Dyck - Anvers

La Lamentation - Paulus Pontius - Londres

Sarzeau

Rennes les Bains

Ryan Martin
Mai 2006


Sortie au Lac de Barrenc
en compagnie de Jacques Rivière
et de trois chercheurs qui interviennent sur le forum
AB-Julio, Asmo, Cardou


Le bois du Barrenc


Ancienne buvette du Barrenc

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Le Lac du Barrenc


Fontaine de Montferrand

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Tombeau de Saunière


Tombeau de Saunière

Photos prises par AB-Julio, Asmo, Cardou

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Les statuts de l'association l'AICT

Les statuts de l'association


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Les photos de la chapelle et du jardin de Rennes le Château

Cette petite chapelle fut construite dans le domaine du curé par Bérenger Saunière
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Le jardin du domaine du curé Bérenger Saunière

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