Rennes le Chateau
Le Jardin Secret
Me basant sur les travaux et découvertes d’Alain Féral au sujet de la transposition, dans le jardin du cimetière, de certains éléments mobiliers symboliques de l’église, je me suis aperçu qu’une « anomalie sympathique » apparaissait dans l’agencement de ce jardin.
Une indication ? Pourquoi pas… certainement, en tout cas, l’un de ces clins d’œil auxquels l’abbé nous a habitué.
A l’Occident de l’église et du jardin, figurent respectivement le confessionnal et le pilier « wisigothique » supportant la Vierge de La Salette… et pas de Lourdes, comme on nous rebat régulièrement les oreilles, la Vierge Sévère demandant la Pénitence étant bien celle de La Salette.
A l’Orient, leur faisant face au centimètre près… l’autel dans l’église et le calvaire / croix de mission dans le jardin.
Ces quatre élément mobiliers et symboliques sont tous séparés, les uns des autres, par la même distance… ils délimitent, de fait, un carré parfait.
Restons donc dans le Symbole ; il semble que dans l’église comme dans le jardin, à l’intérieur comme à l’extérieur, Bérenger Saunière ait voulu représenter deux concepts bien séparés… la notion de « Sacrifice », symbolisée par l’autel (lieu du Sacrifice-Eucharistie) ainsi que par le calvaire, tous deux placés à l’Orient, là où se lève le soleil, et la notion de « Pénitence », représentée par le confessionnal et le pilier marqué « Pénitence » implantés à l’Occident.
Le carré est la représentation symbolique du monde terrestre ; peut-être s’agit-il là d’un message de l’abbé ?
Mais si, comme l’indique Jean-Patrick Pourtal dans son site (https://rennes-le-chateau.org/), l’abbé s’est servi des monuments de son jardin pour « donner des indications » relatives au sous-sol de son église… alors, chaque élément du jardin doit être pris en compte.
Tombe Marie de Nègre-D’Ables Tombe Barthélémy RIVIERE – Gravure sur clocher
Ce qui est relativement intriguant, lorsqu’on étudie minutieusement l’agencement du jardin, c’est que, précisément au milieu de la ligne reliant le Pilier de la Vierge au Calvaire, donc de la Pénitence au Sacrifice dans le monde extérieur, se trouvait autrefois une grille encastrée dans le mur, mais… qui ne pouvait ni s’ouvrir, ni se fermer puisqu’elle était scellée dans les deux montants du mur !!!
Photo et commentaire de Jean-Patrick Pourtal https://rennes-le-chateau.org/index.php/les-jardins-de-leglise/
La «grille qui ne s’ouvre plus » est située au milieu de l’axe Ouest-Est « Pénitence-Rédemption »
Si nous décidons alors d’appliquer la même procédure reproduisant à l’intérieur ce qui est présent à l’extérieur, regardons donc à quoi peut correspondre cette « grille qui n’ouvre pas » à l’intérieur de l’église.
Si l’on reporte exactement dans l’église l’emplacement où se trouvait cette grille scellée, on « tombe », précisément, au centre du chœur, à égale distance du confessionnal et de l’autel (croix rouge sur le plan).
Je me demande si ce n’est pas en cet endroit précis, c'est-à-dire au centre parfait de l’église, que l’abbé Saunière aura trouvé l’entrée du souterrain menant au Tombeau des Seigneurs et (ou) à la Crypte.
Endroit marqué par la « Dalle des Chevaliers » et qu’il aura symboliquement reproduit par une grille fermée dans le jardin. La dalle, quant à elle, étant placée retournée au pied du calvaire, tout comme le pilier « wisigothique » sera, lui-même, inversé. Ce « renversement » des deux objets historico-symboliques du jardin (pilier et dalle) indiquant, justement, que le jardin est une église à l’envers… comme le disait bellement le regretté Alain Féral.
Cette porte sur le mur du jardin, « inutile » et « condamnée à vie », est, pour moi, une autre indication symbolique de l’abbé qui doit nous amener au centre du chœur (cœur) de l’église. A un endroit situé près de Marie-Madeleine mais, aussi, près du mur du Monument aux Morts d’un côté et du clocher et des tombes Rivière et De Nègre d’Ables de l’autre. Deux endroits où des entrées de souterrains sont supposées exister.
L’abbé Henri Gillard, recteur de l’église de Tréhorenteuc, dans le Morbihan, n’avait-il pas fait peindre (par Jean Markale) sur son porche d’entrée la phrase : « La porte est en dedans » ?
Aronnax
Rennes
le château : Etude sur le sous-sol de l'église Saint
Pierre.
Louis Fedie,
dans son livre intitulé "Le Comté du Razès
et le Diocèse d'Alet", nous parle d'une ancienne
tradition concernant une église se trouvant à Rennes
le Chateau, et qui fut entièrement détruite.
Reste
de l'église Saint Pierre de Rennes le Chateau
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Voici un bref
rappel des faits tels que la tradition nous les rapportes:
En 1362 les troupes d'Henri de Trastamare venues de Castille,
ravageant les régions de Fenouillède et Peyrepertuse,
assiègent la cité de Redhae.
Laissons la plume à Louis FEDIE: "... La ville opposa
une vive résistance, mais elle finit par succomber devant
un ennemi disposant de forces supérieures et muni d'artillerie.
La poudrière de la Salasse ayant été incendiée,
une large brèche fut pratiquée dans les murs de
la citée qui
offrit alors un accès facile aux assaillants. Ceux-ci
maîtres de la place, rasèrent les fortifications,
détruisirent
l'église de St Jenan-Baptiste (remarquez le nom!) et firent
de Redhae un monceau de ruines.
Le manoir seigneurial, l'église Sainte Marie-Madeleine
et quelques habitations survécurent à ce désastre..."
Parlant toujours de l'assaut de Redhae et de la destruction de
l'église St Jean-Baptiste, Louis FEDIE nous dis aussi:
-"...La tradition veut que ces mécréants aient
cherché dans l'église St Jean-Baptiste un dépôt
précieux.
Elle ajoute que l'église était piégée
et qu'une dalle basculante précipita quinze (?) des trop
curieux assaillants
dans un cul de basse fosse où ils se rompirent les os..."
Nous savons que le livre de Louis FEDIE fut publié en
1880, date à laquelle Berenger SAUNIERE était vicaire
à
Alet-les-Bains depuis 1879. Ce n'est que cinq ans plus tard que
Sauniere fut nommé curé de Rennes-le-Chateau, ce
qui peut nous laisser dire que Fedié ne fut pas influencé
par "L'affaire Saunière" lorsqu'il a écrit
son ouvrage.
Par contre, il est fort possible que Saunière fut au courant
de cette tradition. N'oublions pas qu'il était un enfant
du pays, né à Montazel qui se trouve à quelques
kilomètres de Rennes le Chateau, et qu'il jouait certainement
dans la campagne alentour comme tout les enfants de cette époque
où la télé n'existait pas.
Je pourrais vous citer d'autres auteurs parlant de cette tradition,
mais j'ai volontairement voulu m'en tenir à L. Fedié
qui en parle bien avant l'affaire de Rennes, et dont la source
est plus sûre.
Quel enseignement pouvons nous tirer de ceci?
Premièrement, à l'époque de Fedié
( 1880 ) l'église St Pierre s'appelait St Jean-Baptiste.
Comment et pourquoi le nom fut il changé? Et à
quelle date? De Séde la désigne sous le vocable
de St Pierre dans son livre "le trésor maudit",
qui daterait (!) de 1967.
Deuxièmement, les Aragonais savaient qu'un dépôt
précieux était caché dans cette église,
mais nous n'avons aucune indication de la nature de ce dépôt.
On peu raisonnablement penser que c'est lors d'une de leurs nombreuses
attaques dans la région qu'ils en entendirent parler,
ou alors cela voudrait dire qu'ils en avait connaissance bien
avant et que leur invasion n'était qu'un prétexte
pour les amener à Redhae.
Une chose est certaine, c'est que ce dépôt devait
être suffisamment précieux à leurs yeux pour
risquer un siège qui aurait pu être très
long, et surtout qui aurait provoqué beaucoup de pertes
humaines de leur coté.
En effet, quand on connait la situation élevée
de Rennes le Chateau, surplombant un plateau, on se dit que ce
n'est pas trop logique au niveau de la stratégie: les
assaillants devaient s'approcher en terrain découvert
jusque sous les murs de la cité et si il n'y avait eu
la poudrière qui avait explosé, le siège
aurait pu durer.
D'autant plus que les assiégés avaient de l'eau
(la citerne qui n'est jamais à sec).
Revenons donc à cette fameuse église...
De nos jours il ne reste debout qu'un pan de mur qui sert de
mur de fond au local technique de la Mairie.
Sur ce mur il y a encore une meurtrière, ce qui peut nous
laisser supposer que l'église était fortifié
comme beaucoup d'autres à cette époque. C'est d'ailleurs
cette meurtrière qui nous permet de situer approximativement
l'emplacement de l'église, et nous fais affirmer que l'actuelle
ruelle St Pierre passe juste sur son emplacement.
Voulant savoir
ce qu'il y avait de vrai dans cette tradition, je me suis décidé
à passer le Géoradar à cet emplacement.
Le résultat vous le connaissez pour l'avoir vu dans la
partie scan de ce site
( je précise que c'est une première mondiale et
qu'aucun autre ne savait ce qu'il y avait dessous!)
néanmoins je vais faire un bref résumé pour
ceux qui l'ignorent:
- Nous pouvons constater qu'il existe bien un réseau de
galeries ARTIFICIELLE, ou artificiellement aménagées.
En effet, le Georadar nous montre des vides constitués
d'angles droits, ce que la nature ne fait jamais.
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-Ce réseau
de galerie est sur deux étages. Le premier niveau se trouve
à 7 m de profondeur, et le deuxième niveau à
14 m. A l'endroit où nous avons scanné, nous pouvons
très nettement voir une partie en pente qui semble aboutir
sur un objet métallique. Il semblerait qu'il s'agit là
de l'escalier permettant d'accéder au niveau inférieur,
et la partie métallique pourrait être soit une grille,
soit une trappe fermant cet accès. |
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Au premier niveau,
nous voyons donc au moins deux galeries perpendiculaires l'une
à l'autre, ainsi qu'une partie de ce qui semble être
une salle voûtée. La voûte de cette salle
se trouverait à 1 m 50 sous la surface de la rue.
Sur le coté du scan, qui correspond en surface à
l'entrée de la rue St Pierre, il existe une galerie naturelle
et je pense que c'est le prolongement du trou se trouvant à
l'emplacement de l'ancien pressoir, qui se trouvait là
ou les services techniques de la commune rangent leurs outils.
D'après les anciens, depuis des années quand le
raisin était pressé, ils jetaient la pulpe dans
ce trou sans jamais avoir pu le remplir ...
Au niveau inférieur, donc à 14 m de profondeur,
le Georadar nous montre deux coffres ou coffrets. Ces coffrets
sont soit entièrement métalliques, soit remplies
de métal (ce qui nous est indiqué par la couleur
rouge du scan effectué.) et leur dimension sont approximativement
de 80X60 cm. Ils sont espacés l'un de l'autre d'environ
5 m. |
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Un peu plus loin,
au même niveau, le Georadar nous montre une forme rectangulaire
en pierre dont les
dimensions sont de 1 m 50 X 50 cm.
l'image est partielle parce qu'en surface un muret m'empêche
de bien scanner au dessus de cet endroit,
mais ce pourrait être un sarcophage en pierre.
( la couleur orange indique soit une mineralisation quand c'est
proche de la surface, soit de la pierre.).
Je tiens à préciser que j'ai dit "ce pourrait
être un sarcophage", mais c'est sans certitude en
l'absence
d'image complète et cela n'engage que moi.
Article
et photos de Rex Mundi
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Les
souterrains du château de Joyeuses retrouvés par
une équipe darchéologues.
Que font-ils
donc dans ce trou ? Réponse : un tas de choses passionnantes
si lon sait que cet entonnoir nest autre que la voie
daccès aux souterrains du château des Joyeuses
à Couiza. Sur autorisation et avec laimable interêt
de la mairie locale, propriétaire des lieux, en accord
avec M. Pinenc, responsable du C.I.V.A.M, le Centre dEtude
et de recherche archéologique ( C.E.R.A.) évoluent
ici depuis le 20 mai, après une première intervention
ayant eu lieu les 10 et 11 avril dernier.
Léquipe de travail est dailleurs composée
de J. Chevenat (Paris), A. Vojnits (Nice), J. et C. Rivière
(Lanet).
Chaque membre faisant partie à titre individuel de la
société française dEtudes des souterrains,
lobjectif du groupe est bien de mener une étude
fouillée et approfondie (on ne saurait mieux dire) de
lensemble des souterrains du monument.
Les fouilles
ont débuté à partir de ce soupirail
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Des prospections basées
sur les textes.
Rappelons au passage que le château dont les travaux commencèrent
sous Jean de Joyeuse en 1540 fut terminé en 1562 par le
vicomte Guillaume V de Joyeuse, son fils, lieutenant général
en 1561, maréchal en 1582 et chef de la ligue du Languedoc.
Les archéologues ne sont pas venus ici oeuvrer à
laveuglette puisquils appuient leur démarche
sur les écrits des auteurs qui tous rapportent lexistence
de souterrains, partant de la tour du Levant où lon
sactive donc en connaissance de cause.
De là, la vérification du point suivant de «
lHistoire du Languedoc » de Dom Vaisette : «
Guillaume de Joyeuse paraissait aimer et habiter le château
de Couiza. En 1575, les hérétiques, devenus maîtres
dAlet, remontèrent la rivière dAude,
pillèrent le château de Couiza, firent prisonnière
la femme du château (Marie de Batarnay). Guillaume néchappe
aux assiégeants quen se hâtant de prendre
la fuite ».
Egalement, vérifications dans « le comté
de Razès » de Fédié 1880 : «
La tour du Levant possède aussi un souterrain auquel on
aboutit par un étroit escalier en pierre. Ce souterrain
se prolonge en dehors de lenceinte par un chemin voûté,
placé à une grande profondeur sous le sol. Cette
voie souterraine est impraticable, car elle est obstruée
par des amas de terre et de décombres. »
Un parcours
déjà bien amorcé
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Et M. Rivière
dexpliquer aussi : « Cest cette voie que nous
nous efforçons de reconnaître. Lescalier de
pierre qui souvrait dans la loge du gardien a disparu dans
celle-ci transformée aujourdhui en bureau. Mais
existe encore dessous, comme nous avons pu le constater. Laccès
actuel, possible dans la tour du Levant est létroit
soupirail dans lequel il a fallu nous glisser ( photo ci contre)
pour pénétrer dans le caveau obstrué de
décombres que nous vidons à partir du soupirail.
Le caveau est une chambre basse voûtée, sous la
tour, denviron 2 mètres de hauteur. Son remplissage
est de sable, de terre, et le sol recouvert de blocs de pierres
et de cendres en rapport avec un incendie. Rien ne confirme un
remplissage par les crues de lAude ».
Il existe de plus une tradition rapportant un itinéraire
de souterrains vers les casemates du vieux château.
Le deuxième objectif de léquipe sera de vérifier
lexistence de ce trajet que personne na jamais vu
depuis Joyeuse, mais qui se trouve rapporté dans le livre
de Fédié : « Si lon fouillait le sol
des Pailles (usines désaffectées en cours de réaménagement)
on trouverait des caves aujourdhui comblées et lorifice
dune voie souterraine qui communique avec la tour du Levant
au moyen du souterrain ». Il y a dix ans, une partie du
parcours aurait été révélée
lors de travaux effectués sur le terre-plein, comme laffirme
un témoin venu rendre visite au chantier.
Les archéologues accepteront donc avec plaisir les témoignages
qui pourraient leur être rapportés à ce sujet.
En attendant, on ne peut que se féliciter de voir cette
entreprise intelligente, officiellement encouragée par
le maire M. Faure, porter un nouvel éclairage dactualité
sur un monument qui mérite amplement dêtre
de mieux en mieux connu et apprécié à sa
juste valeur.
Doù le haut intérêt de ces fouilles
patiente et concertées dont les résultats heureux
seront sans nul doute en osmose avec la pénétrante
passion de ceux quils mobilisent avec ardeur, sur ou plutôt
sous le terrain.
Article de l'indépendant |
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Week
end de recherches à Camps sur l'Agly
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Cavité
de 1m80 de profondeur
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A Camps sur l'Agly,
il y a un château au pied duquel existe un souterrain.
Lors du Week-end organisé par des amis chercheurs, je
fus invité à passer le géoradar à
l'emplacement supposé du souterrain.
Pendant qu'Alaric03 allait dans le souterrain en reconnaissance
( je lui tire mon chapeau), je scannais la surface.
Résultat: En bleu nous voyons nettement une partie du
souterrain, avec la courbe vers le bas de l'image indiquant que
le tunnel tourne pour se diriger en direction du village. Cette
courbe nous a été confirmée par Alaric03
qui nous l'a signalé lorsqu'il était sous terre.
Le souterrain se trouve à environ 1m70 à 1m80 de
profondeur, et nous entendions très bien les personnes
entrées à la suite d'Alaric qui parlaient.
Il serait intéressant de scanner le chemin en entier afin
de pouvoir remonter le tunnel et voir ou il débouche. |
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cavité
de 7m de profondeur, 1m60 de largeur
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Mais je pense que
le plus intéressant n'est pas le souterrain du château,
qui est assez connu, mais plutôt le camping.
En effet, lorsque j'ai montré à Gérard Rival
le fonctionnement du géoradar, qu'il a su apprécier
en tant que professionnel, nous avons scanné une petite
bande de terrain.
En arrivant chez moi, j'ai voulu traiter aussi ce scan par curiosité
sans penser y voir quelque chose d'intéressant.
Voici le résultat:
Il semblerait qu'une cavité existe sous le camping, dont
la largeur fait environ 1m60 et se trouvant à environ
7m de profondeur.
D'après le résultat du scan, on peut penser que
cette cavité est artificielle, dans la mesure ou les parois
semblent être rectilignes, contrairement à ce que
l'on trouve dans les cavités naturelles. |
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Je crois que
si on scannais ce camping on aurait sûrement des surprises,
et ce serait bien d'avoir plus de renseignements sur l'histoire
de cette endroit (légendes, souvenirs...)
Article
et photos de Rex Mundi
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Exploration
de la grotte de blanchefort
Sur la
route de Couiza à Serres au croisement de Cassaignes,
nous laissons les véhicules pour grimper sur les hauteurs
du roc de Blanchefort.
10 mètres
en dessous du sommet nous prenons connaissance de l'ouverture
de la grotte de blanchefort.
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Grotte
de Blanchefort
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Renfoncement
de la roche
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Beaucoup
de personnes confondirent cette grotte longtemps bouchée
avec le renfoncement de la roche formant le trou circulaire bien
connu juste au sommet.
Cette
grotte de blanchefort est porteuse d'une ancienne légende
stipulant qu'un grand trésor constitué de pièces
d'or y serait caché. Une autre légende bien plus
ancienne raconte qu'un habitant des Bains de la reine aurait
vu le diable caché un trésor sur la montagne de
blanchefort.
Cela
nous incite à nous demander s'il n'y aurait pas dans chaque
légende une parcelle de vérité. Paul Urbain
de Fleury alors propriétaire terrien de cette montagne,
aurait mis ce villageois en procès pour violation de propriété
privé.
Nous
allons maintenant vous présenter le plan de la grotte
de Blanchefort en coupe transversale :
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Grotte de Blanchefort
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Nous
insistons sur le fait que le passage au 2ème étage
par l'ouverture entre les deux rondins de bois et la paroi est
très mince et que la descente comme la remonté
se fait par la force des bras. Si vous ne comptez pas descendre
mais traverser les rondins pour arriver au bout du 1er étage,
faites très attention et soulagez votre poids en vous
appuyant sur les parois à l'aide de vos bras, car les
deux rondins de bois se font vieux et craqueront un peu à
votre passage. :
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Article et photos
de Jérome Baraton
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Le ruisseau de Boudet
Le passage
est étroit, mais une fois à l'intérieur
cela s'élargit. On distingue au fond sur la gauche une
voie qui s'enfonce vers le bas, et sur la droite une autre voie
qui s'enfonce sous la montagne ( voie humide et voie sèche
?).
Du déblaiement à faire, car il y a beaucoup de
sédiment, mais à l'entrée de la grotte on
à l'impression que des restes de liant ( chaux ou "ciment")
ont servis à boucher l'entrée à une certaine
époque.
Cette grotte se situe dans l'ancien lit d'une source ou rivière,
et vu son emplacement on peut sans crainte affirmer qu'elle fut
derrière une cascade à l'époque où
il y avait de l'eau. Ceci n'est pas pour le mystère, mais
je signale à ceux qui ne le sauraient pas que quand une
rivière souterraine ne peux plus passer par le tunnel
qu'elle a creuser pour différentes raisons (éboulements
...) elle passe en surface. De là vienne les grottes situées
derrière les cascades, qui ne sont rien d'autres que les
anciennes voies de sortie d'une rivière souterraine.
Les anciens auraient pu, lors d'une sécheresse, découvrir
cette grotte et ......
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Photo Clicable
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Photo Clicable
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Photo Clicable
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Photo Clicable
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Article et photos
de Rex Mundi
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Le
plan de la citerne de Rennes le Château 1873
Document trouvé
aux archives départementales de l'Aude par Michel Vallet
et publié avec son aimable autorisation
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Avec plusieurs
membres de l'A.I.C.T nous avons exploré cette citerne
il y a une vingtaine d'années.
Nous avons constaté que le puits du château actuel
débouchait dans la citerne, en effet on voit encore sur
le côté droit à l'intérieur de la
citerne le passage ou débouchait le puits du château.
Il serait très intéressant de savoir l'endroit
exact de la source et d'ou elle vient.
Alain CH... pense que l'eau s'écoule de la partie haute
de Rennes le Château.
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~~~~~~~~
Les
souterrains
Cette entrée
semble être un souterrain bouché.
Il se situe dans la Sals sous Coustaussa. Nous n'avons à
ce jour fait aucune investigation.
A Blanchefort nous
avons pu observer plusieurs galeries ou souterrains comme la
photo ci-dessus. Il y a une dizaine d'années, un groupe
de chercheurs ont creusé une galerie qui traverse Blanchefort
pratiquement de part en part.
Ils sont tombés sur un puits qui semble descendre dans
les entrailles de Blanchefort.
A ce jour il nous a été impossible de passer le
passage étant beaucoup trop étroit.
Avis aux amateurs.
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