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Jean-Pierre
Deloux - Jacques Brétigny
Rennes le Chateau
Capitale secrète de
l'histoire de france
Bérenger Saunière,
curé d'un petit village de l'Aude, a-t-il découvert
un fabuleux trésor à la fin du XIXe siècle?
Depuis une vingtaine d'années, le trésor de Rennes
le Chateau défraie la chronique et suscite les hypothèses
les plus folles. Mais une fois de plus, la réalité
dépasse la fiction
Jean-Pierre Deloux et Jacques Brétigny ont voulu faire
le point sur cette extraordinaire histoire. Disposant de documents
totalement inédits et de contacts avec les milieux les
plus fermé de l'occultisme, ils ont entrepris de mener
leur propre enquête sur l'or du Razès.
Ainsi révèleent-ils pour la première fois
la nature des découvertes de l'abbé Bérenger
Saunière et établissent ils le rôle véritable
de l'abbé Henri Boudet, qui détenait la clef permettant
d'acceder aux douze trésors de Rennes le Chateau.
Au terme de cette longue enquête où se croisent
les celtes, les Romains, les Wisigoths, les Francs, où
apparaissent et disparaissent les dynasties qui régnèrent
sur notre pays, où défilent des personnages aussi
divers que Dagobert II, les Templiers, Blanche de Castille, les
Cathares; Jeanne d'Arc, Nicolas Poussin, Fouquet, Colbert Dlacroix,
Victor Hugo, Debussy, Jean Cocteau, les auteurs établissent
définitivement le rôle majeur que joua et continue
de jouer l'histoire de France une société secrète
- le Prieuré de Sion - qui, à la fois, garde le
secret des douze trésors de Rennes le Chateau et ceile
sur la pérennité de la lignée mérovingienne.
En effet, le secret de l'or de Rennes le Chateau est aussi celui
de la première dynastie qui régna sur notre pays.
En cela, les douze trésors constituent bel et bien l'héritage
du grand Monarque annoncé par Nostradamus.
Les mystères de Rennes le Chateau, capitale secrète
de la France, se confondent ainsi avec l'histoire occulte de
notre pays et permettent d'en comprendre la véritable
dimension ésotétique.
édité par
Pégase
Prix 16 Euros
dans toutes les bonnes librairies de Rennes les bains, Rennes
le Château, Couiza, etc.
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Rennes-le-Château
Le mystère
de l'abbé Saunière
La bande dessinée des éditions Bélisane
Dans la chaleur de l'été
1885, un homme de 33 ans arrive par la route poudreuse au village
de Rennes le Château.
C'est l'abbé Saunière.
Pendant de nombreuses années, il ira au bout de ses rêves
en faisant bâtir sa ville Sainte.
Dans son domaine, il recevra des personnages illustres et mystérieux,
menant grand train.
Tous ceux qui l'approchèrent diront que le curé
du village a trouvé un immense trésor...
Voici la fin de l'histoire de
l'abbé Saunière...
Tout aurait pu tomber dans l'oubli du temps, si...
les journaux de 1956 n'avaient popularisés ces événements
sous le titre " la fabuleuse découverte du curé
aux milliards!" créant le mystère, liant désormais
l'abbé et rennes le château.
L'affaire était née alors, mêlant la légende
et la réalité. Chercheurs de trésors, curieux
et fantastique, rêveurs d'illusions, tous, prennent la
route en lacets qui part de Couiza et mène a un petit
village sur son plateau rocheux.
Le visiteur trouvera dans ce village ce qu'il est venu chercher.
Beauté irréelle du lieu, ou sombre trésor
maudit? main de dieu ou sourire grimaçant du démon
? il n'y a pas de fumée sans feu!
Une bande dessinée de 66 pages
Prix 15 Euros
Commande à Bélisane Place du Château 11570
Cazilhac
dans toutes les bonnes librairies de Rennes les bains, Rennes
le Château, Couiza, etc.
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Rennes-le-Château
-------Gisors-------
LE TESTAMENT DU PRIEURE
DE SION
Le Crépuscule d'une Ténébreuse Affaire
par Jean-Luc Chaumeil
En 1984, Philippe de Cherisey
confiait à Jean-Luc Chaumeil un document manuscrit d'une
quarantaine de pages, intitulé Pierre et Papier, avec
la promesse de ne le publier que vingt ans après la mort
de son rédacteur.
Philippe de Cherisey nous ayant quitté en 1985, l'auteur
a donc tenu parole.
Mais, outre le fait de constituer la pièce maîtresse
de cet ouvrage, LE TESTAMENT DU PRIEURÉ DE SION est aussi le chant du cygne d'une mystification qui a pris forme
voici un demi siècle : le Prieuré de Sion. Créée
de toutes pièces par Pierre Plantard, elle a servi de
toile de fond à deux mirifiques affaires Gisors et Rennes-le-Château.
Longtemps familier des protagonistes de cette organisation fantôme,
Jean-Luc Chaumeil se fait un devoir, désormais, d'en révéler
tous les tenants et aboutissants. Il estime qu'il le doit non
seulement aux nombreux lecteurs de Gérard de Sède,
dont les livres ont largement contribué à la renommée
de ces deux trophées de notre Histoire secrète,
mais aussi à tous ceux qui ont lu Da Vinci Code de Dan
Brown et qui ont vu le film tiré de ce roman.
Une CENTAINE de documents, dont les 2 PARCHEMINS ORIGINAUX
REPRODUITS EN COULEUR, argumentent les révélations
de l'auteur.
- 210 pages -
Jean-Luc Chaumeil, journaliste et écrivain, est
l'auteur d'une dizaine de livres, dont quelques-uns sont consacrés
à l'histoire des Templiers. L'un de ses ouvrages , "Rennes-le-Château
: les Archives du Prieuré de Sion", vient d'être
réédité aux éditions Pégase.
A Parution, il y a 250 exemplaires
qui seront numérotés et dédicacés
par l'auteur.
Prix de l'ouvrage 20 euros
Frais de port gratuit si commande à
Pégase
1, rue des Aspres
66180 Villeneuve de la Raho
(France)
Joindre chèque (à l'ordre de PEGASE) à la
commande, qui ne sera encaissé
qu'après l'envoi de l'ouvrage.
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Daniel
Dugès
Le secret de Nicolas Poussin
Au coeur de l'affaire de
rennes le Château
Nicolas Poussin, célèbre
peintre du XVIIe siècle, contemporain de Louis XIV, est-il
venu à Rennes le Château ?
Quel redoutable secret recèle cette toile les Bergers
d'Arcadie, qu'il a peinte à l'apogée de
sa gloire et qui lui a permis de s'élever au rang des
maîtres du classique français ?
Daniel Dugès, chercheur
obstiné et cryptographe aguerri, n'a pas craint de braver
les tabous. Il lui a fallu, en effet, beaucoup d'abnégation
pour suivre certaines pistes, qui se sont révélées
le plus souvent sacrilèges, voire hérétiques.
L'énigme de Rennes le Château mérite t-elle
d'être résolue, fut-ce au prix de voir nos croyances
voler en éclats ?
L'auteur, en tout cas, n'affirme jamais sans preuves.
Professeur d'art plastique, Daniel
Dugès est aussi conférencier. Il est l'auteur d'un
CD Rom sur Montségur et a signé récemment
un roman intitulé : Le temps du Laurier.
édité par
Pégase
Prix 12 Euros
dans toutes les bonnes librairies de Rennes les bains, Rennes
le Château, Couiza, etc.
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Jacques
RIVIÈRE - Claude BOUMENDIL
HISTOIRE DE RENNES-LES-BAINS
Vient de Paraître
Des failles géologiques
ont fait jaillir des eaux thermales dans le lit de la rivière
salée ( La Sals). Ces eaux chaudes firent la réputation
et la richesse des bains de Rennes, jadis appelés Bains
de Montferrand. Connu depuis la plus haute antiquité,
les romains les utilisèrent a des fins civile et militaire.
De nombreux vestiges attestent leur passage.
L'étude de la géologie - L'époque Gallo-romaine
- L'exploitation des mines - La gestion des thermes par les anciens
seigneurs jusqu'à la révolution, sont traitées
avec clarté, étayées par de nombreux documents.
La période contemporaine, riche en rebondissement, a vue
de nouveaux aménagements de la station la rendre plus
attractive, malgré une gestion difficile des différentes
sociétés d'exploitation qui se sont succedées.
La richesse des sites et paysages emblématiques, a largement
contribué à la légende trésoraire,
de Rennes les Bains, indissociable de celle de Rennes le Château.
En dépit des obstacles rencontrés, la renommée
de Rennes les Bains ne sera jamais démentie, attirant
plus de curistes, de touristes et de chercheurs.
Un ouvrage de 220 pages
au Format 16x24 - Nombreux documents et illustrations.
Prix 25 Euros
Commande à Bélisane Place du Château 11570
Cazilhac
dans toutes les bonnes librairies de Rennes les bains, Rennes
le Château, Couiza, etc.
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Daniel Dugès
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Commandez à la Librairie de Rennes le Château
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Rennes
le Chateau :
Le temps
du laurier
Un petit village au pied du château
de Montségur. De nouveaux habitants attirés par
l'étrangeté du lieu et liés par l'humour,
l'amour et l'ombre du passé. Une énigme au pays
des Cathares et des Templiers, tel est le temps du laurier.
"Savez-vous que les templiers sont à nos portes ?
- Les Templiers ?
- Oui! Les Templiers... de l'ordre du Temple.
- Depuis que tu es propriétaire de la Commanderie, tu
vois des templiers partout!
Guilhem raconta l'anecdote de la caravane marquée de l'emblème
du Temple.
-Mais il me semble, émit Claire, que l'ordre du Temple
a brûlé avec Jacques de Molay, il y a déjà
quelque temps!
- Ne colportons pas de ragots sur des choses que nous n'avons
ni vues ni entendues..., suggéra Jean-François.
Pierre, toi qui es notre espoir en matière de bûcher,
et autres punitions divines, éclaire-nous!
Pierre, prenant un ton doctoral, déclara:
- Laissez parler le savoir! Comme l'a dit notre chère
Claire, l'ordre du Temple a été dissous par Philippe
IV, dit le Bel, au début du quatorzième siècle;
tous ses biens ont été légués à
l'ordre de l'Hospital et plus personne ne peut avoir entendu
parler des templiers depuis. Mais..."
Daniel Dugès
Peintre, professeur d'arts plastiques, Daniel Dugès travaille
sur le secret de rennes le Château depuis dix-sept ans.
Mais c'est sa passion des Cathares qui l'a conduit dans le village
de Serrelongue où se sont dessinés les personnages
de ce premier roman. Très inspiré de faits réels,
" Le temps du laurier" nous conduit sur les traces
de l'ordre du Temple et la découverte d'un trésor.
Une recherche du Graal en quelque sorte... |
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Vous
pouvez le commander soit à la Librairie de Rennes le Château
soit directement chez Michel Vallet - Pégase
1 rue des Aspres
66180 Villeneuve de la Raho
Prix 18 euros
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Rennes
le Chateau :
Les archives
du Prieuré de Sion
En 1970, jean-Luc
Chaumeil, jeune journaliste, féru d'ésotérisme
et d'énigmes historiques, débute son enquête
sur les mystères de Rennes le Château. Il ne laisse
rien au hasard. Visite sur place, consultation d'ouvrages anciens,
rencontre des derniers témoins. Cela lui vaut de rentrer
de plain-pied dans une affaire dont il ne soupçonnait
même pas toutes les implications. Ses recherches le mirent
en présence d'étranges personnages qui, loin de
le décourager, favorisèrent ses découvertes;
Pierre Plantar de saint-Clair, grand-maître auto-proclamé
du Prieuré de Sion, fut de ceux-là.
Rennes le Château, Gisors, Paris, Londres, Bruxelles, Genève,
telles furent les destinations où le conduisirent sa détermination
et sa perspicacité. Il en a rapporté de précieuses
informations; mais, surtout, il fut l'un des rares privilégiés
à pouvoir contempler, derrière des vitrines blindées,
les éléments du trésor découverts
par l'abbé Saunière à Rennes le Château.
En 1973, Jean-Luc Chaumeil a enfin publié, le résultat
de son enquête, dans un numéro du Charivari. C'est cette publication, devenue introuvable depuis plus
de trente ans, que nous rééditons à l'identique;
non sans y avoir ajouté quelques documents inédits.
Jean-Luc Chaumeil
est l'auteur d'une dizaine d'ouvrages, dont quelques-uns sont
consacrés à l'histoire des templiers. |
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Le
film DVD est réalisé par
une équipe de jeunes chercheurs de trésor de Rennes
le Château
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"Ce film
amateur réalisé par une équipe de jeunes
chercheurs vous fera
voyager au centre de la terre du Razès.
Vous pourrez les suivre dans leur recherches et découvrir
des lieux encore inconnus et jamais filmés, comme la grotte
de la Fajole indiquée par Boudet, la vraie grotte
de Blanchefort, la fameuse borne ALCOR de Plantard,
les ruines de l'Aram, l'énigmatique pierre tombale d'Elisabeth
Raynaund et bien d'autres surprises.
(Attention ce film à été tourné avec
un simple caméscope numérique.)"
Jérome |
Ce film DVD sera
en vente à la librairie de Rennes le Château à
partir du 17 janvier 2006 |
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Le guide du
chercheur de trésor de Rennes le Château
Sur les traces
du code da vinci...
Aux éditions Lacour
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Bérenger
Saunière est né le 11 avril 1852 à Montazel,
village proche de Rennes le Château. Enfant d'une famille
qui en compte sept, Bérenger Saunière, de son vrai
prénom, François Bérenger, sera orienté
vers la prêtrise, tout comme son frère Alfred.
Son père est le métayer d'un noble de la région
: le marquis de Cazemajou. Il fait son séminaire à
Narbonne et est ordonné prêtre en juin 1879. Il
devient vicaire à Alet et est ensuite nommé dans
la paroisse du Clat, village isolé et rude se trouvant
sur les terres des Nègres d'Ables.
Il y reste trois ans et est nommé par ses supérieurs
comme professeur à Narbonne. Là, il semble que
son attitude, parfois insolente et indépendante, semble
lui être défavorable et décide l'évêché
à le nommer dans une commune de peu d'importance et de
peu d'avenir pour lui : Rennes le Château.
Michel Roux |
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Nia
Reine le Château
ou
le secret de l'imper en or
L'histoire de
Rennes le Château et du mystérieux Abbé Saunière
a déjà fait couler beaucoup d'encre. " L'Imper
en Or" écrit par Nia, revient sur le sujet, mais
le contenu de l'oeuvre est novateur et surtout loin d'être
insipide.
A travers cette nouvelle, l'auteur nous entraine dans les méandres
historiques de rennes le Château. Dans un style onirique
et historique, Nia nous allègue ces découvertes,
qui peuvent parfois prêter à sourire au vu de son
style plutôt "décontracté", mais
qui nous font surtout réfléchir sur notre passé
wisigothique.
Que vous soyez
néophytes, ou des chercheurs aguerris sur la question,
les pistes et idées lancées par Nia ne vous laisseront
sûrement pas de marbre. A lire et à relire avec
plaisir, d'autant plus que l'ombre d'Arsène Lupin ( dont
on fête le centenaire d'existence cette année )
plane sur ce livre.
En vente à
l'hostellerie de rennes les Bains ainsi qu'à l'Atelier
Empreinte, librairie de Rennes le Château
Prix 7 euros |
Gérard
de Sède
Saint-Emilion
insolite
Michel
Vallet
vient de sortir une réédition du livre de Gérard
de Sède, publiée en 1980
Le
titre du livre
Saint
Emilion insolite
Il en est de
certaines villes comme de certaines gens : elles ne se livrent
que peu à peu et il faut leur savoir grand gré
de cette pudeur. Saint-Emilion est de celles-là.
Revêtue
de la pourpre impériale de ses vins, cette petite cité
Aquitaine fait depuis longtemps retentir son nom dans le monde
entier ; et pourtant, sous l'armure de pierre de ses remparts
ébréchés par les guerres et les siècles,
sous les voûtes et dans les cryptes de ses églises,
au plus profond de ses grottes, elle recèle bien des secrets.
Pour entrer dans
l'intimité de cette illustre inconnue, il fait donc prendre
son temps. C'est facile car ici tout vous retient : les harmonies
subtiles du ciel et du paysage, la présence du passé,
l'art de vivre. Nul n'est jamais pressé de quitter ce
terroir aimable et ses habitants chaleureux.
Dominé
par sa Tour du roi, encadré de coteaux boisés,
Saint-Emilion, ostensoir élevé il y a mille ans
par des mains ferventes au dessus de la verte nappe de vignobles,
vous invite à une lente flânerie.
Mais attention
! une ville peut en cacher une autre. Derrière le Saint-Emilion
des cartes postales et des images pieuses se dissimule un saint-Emilion
insolite, celui des initiés.
Ces quelques
pages ont été écrites pour vous y faire
pénétrer, clefs en mains.
Vous
pouvez le commander soit à la Librairie de Rennes le Château
soit directement chez
Michel Vallet
Pégase
1 rue des Aspres
66180 Villeneuve de la Raho
Prix
10 euros |
"
Le secret dérobé "
Laissons la parole à Franck Daffos :
Tel est le titre
d'un livre à paraître très prochainement
de Franck Daffos, aux éditions l'Oeil du Sphinx (Paris/Rennes
le Château). En avant première, l'auteur a bien
voulu développer ses thèses au cours de l'assemblée
annuelle de Terre de Rhedae, qui s'est tenue à
Rennes les Bains, le samedi 16 avril. Plus qu'un compte rendu
littéral, cet article est une extrapolation de son exposé.
Cela
fait un peu plus de trente-cinq ans que je viens à Rennes
le-Château . Non de façon régulière,
mais ponctuellement, une ou deux fois par an. La première
fois, j'y suis arrivé par hasard pendant les événements
de Mai 68, j'avais quinze ans. Pensionnaire chez les Pères
Assomptionnistes de Toulouse, j'avais fait " le mur "
avec quelques camarades. Partis pour Collioure, audelà
de Perpignan, nous nous sommes perdus. Finalement, nous avons
échoué à Rennes le Château..
Bien que cette affaire m'intéressait, je n'en étais
pas obsédé. Lors de mes passages dans la région,
j'achetais volontiers les livres qui paraissaient sur le sujet.
Cette histoire
devait me rattraper il y a deux ans, au printemps 2003. A Toulouse,
j'achetai à un bouquiniste une petite monographie au sujet
d'une église de l'Aude. C'était une publication
des années 60. Quelques jours plus tard, en la feuilletant,
j'eus une impression étrange : il me semblait lire quelque
chose, alors que l'auteur en disait une autre. En fait, je m'aperçus
qu'il ne parvenait pas à comprendre certaines anomalies
architecturales de l'église qu'il décrivait. De
plus, le plan qu'il en donnait était faux. Etait-ce à
dessein ?
Je relu très
attentivement cet opuscule. Puis, bientôt, me sont apparues
certaines concordances avec l'église de Rennes le Château,
surtout en ce qui concernait la décoration intérieure.
Je me suis donc
de nouveau rendu à Rennes, mais cette fois dans le but
d'observer l'église avec un regard neuf. Dès lors,
l'examen des inscriptions du porche furent " parlantes "
. Héritage de mes études chez des religieux, on
m'accordera une bonne pratique du latin et certaines notions
de théologie.
J'en suis vite
arrivé à ce constat : l'église de Rennes
le Château se lit comme un livre. Elle se présente
avec un avant propos extérieur, une introduction qui en
est le tympan , un développement constitué de la
décoration intérieure, et une conclusion qui n'est
rien de moins que les deux statues sises derrières l'autel.
Je me suis rapidement
aperçu que l'église de Rennes avait été
agencée pour être le reflet d'une autre église.
Celle de Notre Dame de Marceille, près de Limoux!
De fait si l'on
examine bien les deux piliers de l'église, on y aperçoit
respectivement la date 1646 et l'inscription IHS. De toute évidence,
ces deux graphismes avaient été laissés
exprès, en dépit de la profonde restauration entreprise
dans les années 1890.
Considérant
la date inscrite, je me suis donc intéressé au
XVIIe siècle, et plus particulièrement ce qui aurait
pu se passer dans la région, vers 1646. Pierre Jarnac
avait suggéré qu'il pouvait s'agir d'une date de
réfection de l'édifice, un an après la découverte
d'un trésor par un certain Ignace Paris, berger de son
état.
Je ne négligeai
pas pour autant de comprendre la présence de ce I H S,
d'autant qu'il avait une graphie particulière. Un H exagérément
étiré.
J'ai fini par en trouver l'explication dans le livre de l'abbé
Boudet, " La Vraie langue celtique.. ", à
la p. 25. Par la suite, j'ai pu déterminer que ce I H
S était la signature janséniste de Nicolas
Pavillon, évêque du diocèse d'Alet, de 1630
à 1677.
En fait, ce cartouche
I H S initie à un parcours sur lequel se trouve l'église
de Rennes le Château, pour aboutir au sanctuaire de Notre
Dame de Marceille.
II semblerait
qu'un trésor ait été trouvé par hasard,
au milieu du XVII, effectivement en 1645, à l'époque
de Blaise d'Hautpoul, seigneur de Rennes.
C'était une fortune considérable probablement trouvée
par un berger. D'abord Blaise dHautpoul se confie à Nicolas
Pavillon, évêque d'Alet, qui était alors
un Evêché. Le trésor est trop énorme,
Blaise d'Hautpoul se cherche un protecteur. II faut souligner
que le contexte politique invite à la prudence. On est
en pleine Régence et les Espagnols menacent nos frontières
Mais Pavillon est rusé. II parvient à circonvenir
le seigneur de Rennes et obtient de lui de substantielles livraisons
prélevées sur le dépôt. Dès
lors, les ressources dont l'évêque d'Alet semble
bénéficier en étonnent plus d'un.
Finalement, Blaise d'Hautpoul se lasse et intente un procès
à l'évêque sous un motif dérisoire.
En réalité, le seigneur de Rennes veut lui interdire
l'accès de ses terres et donc de la cache. [Entendons
nous bien, Nicolas Pavillon est ici une personne morale, ce n'est
évidemment pas lui qui rampait vers le trésor et
puisait allègrement dedans!]
Au final,
les deux hommes s'entendent sur un compromis.
Blaise d'Hautpoul accepte de reprendre les envois, mais ils se
feront à sa discrétion.
Entre temps,
l'évêque d'Alet est taraudé par ce secret.
II craint qu'il ne se perde et veut laisser un message. Lui vient
l'idée d'un tableau crypté. Il en appelle à
son neveu, Jean Pavillon, qui est peintre. Le jeune homme travaille
pour Renaud le Vieux, lui même très proche du grand
Nicolas Poussin. C'est ainsi que les Bergers d'Arcadie seront
réalisés.
Quelques années
passent, l'austère évêque d'Alet est peu
à peu gagné au jansénisme. Ses débordements
l'opposent au pape. Jadis proche de la Compagnie du Saint Sacrement,
il la voue désormais aux gémonies. De son côté,
Nicolas Poussin, proche des jésuites et des dévots,
s'effraie de l'attitude de Pavillon. Il redoute que l'évêque
frondeur mette le trésor, pour lequel il a peint l'un
de ses plus célèbres tableaux, au service de la
cause janséniste. Il fait part de son inquiétude
à la famille Fouquet, dont le membre le plus influent
en est Nicolas Fouquet, Surintendant des Finances du royaume.
Mais tout ce
que réussi à faire Nicolas Poussin, ce fut d'introduire
le loup dans la bergerie. Fin 1656, en effet, Nicolas Fouquet,
par le magot " alléché " fait nommer
son frère François coadjuteur, c'est à dire
futur évêque, de l'Évêché de
Narbonne. Or, le premier travail de François Fouquet est
d'aménager le sanctuaire de Notre Dame de Marceille en
coffre fort.
Il est à
observer que sous l'Ancien régime, si Rennes dépend
du diocèse d'Alet, Limoux et Notre Dame de Marceille sont
de la juridiction épiscopale de Narbonne. L'intérêt
était que le sanctuaire marial soit proche d'Alet.
Nicolas Pavillon
n'a pas eu d'autre choix que de composer. Au lieu d'être
le seul bénéficiaire de cette manne providentielle,
il doit désormais en rétrocéder la quasi
totalité à l'évêque de Narbonne (François
Fouquet est devenu évêque en titre en 1659). Mais
il semble que Pavillon ait conservé le secret de la provenance
de tout cet or.
Le 17 août
1661, Fouquet reçoit le roi dans son nouveau château
de Vaux-le-Vicomte, dont la construction s'est achevée
plus vite que prévue. La fête est somptueuse, mais
Louis XIV, qui a déjà des doutes sur l'honnêteté
de son Surintendant, est désormais persuadé que
son ministre pille les finances de l'État à son
profit. Et trois semaines plus tard, il le fait arrêter.
Las! Son procès
est instruit par Colbert. Mais les juges, persuadés de
l'innocence de Fouquet, refusent de le condamner. Colère
de Louis XIV qui les fait révoquer et remplacer par des
magistrats plus dociles. Nicolas Fouquet comprend que son sort
est scellé. Il avoue à Colbert qu'en réalité
une partie de ses fonds provient d'un trésor, qu'il tient
de son frère François Fouquet, évêque
de Narbonne.
Dès lors,
Nicolas Fouquet devient l'otage de Louis XIV, qui obtient l'envoi
des fonds à son profit tant que le Surintendant restera
en vie. C'est l'époque où Colbert, nommé
contrôleur général des Finances, créé
de nombreuses manufactures et que Versailles est en chantier.
Dans le même
temps, François Fouquet eut à subir un semi exil
en Normandie et va finir sa vie sous la tutelle de l'évêque
de Rouen. On suppose que c'est Mgr Dagen, son Vicaire Général,
qui supervisait les envois.
Mais en 1673,
François Fouquet meurt. Ce flot d'or se tarit d'un seul
coup. On ignore tout de sa provenance. Il est probable que, peu
avant de mourir, François Fouquet s'était laissé
aller à quelques confidences. C'est depuis ce temps là
qu'on a vu souvent l'Évêché de Rouen s'intéresser
aux affaires de Carcassonne. De Jean Fuzelier de la Feuille,
avant la Révolution, à Mgr de Bonnechose dans les
années 1850, tous sont venus de Rouen, à la recherche
de la mystérieuse crypte au trésor.
C'est en 1677
que s'éteignit Nicolas Pavillon. Que le secret disparaisse
avec lui le préoccupait, d'autant qu'il s'était
aperçu que les Bergers d'Arcadie présentaient l'inconvénient
d'être inexploitable pour qui voulait retrouver physiquement
la cache de Rennes. Comment aurait il pu en être autrement,
puisque lui même n'avait que des éléments
théoriques à ce sujet... II ignorait concrètement
comment localiser l'emplacement du trésor!
En 1694, à
son tour, Blaise d'Hautpoul meurt. Cette fois s'en est bien fini
du secret de Rennes.
Tout va resurgir,
moins d'un siècle et demi plus tard, grâce à la sagacité
d'un aumônier de Notre Dame de Marceille, Gaudéric
Mêche. En poste depuis quelques années, l'homme
se comporte étonnamment. Il dépense beaucoup pour
le sanctuaire : achats de terrains, restauration du gros oeuvre,
etc., sans jamais demander le moindre subside à la communauté
qui gère le pèlerinage de Notre Dame de Marceille.
Inquiets et, peut être, craignant un scandale imminent,
les marguilliers obtiennent son départ en 1838. Il est
alors relégué à Notre Dame du Cros, près
de Caunes Minervois.
Lui succède
Henri Gasc. Pareillement, il va intriguer le Conseil de Fabrique
par sa prodigalité pour le sanctuaire. Mais c'est un homme
altier et on hésite à le provoquer. Si bien qu'il
restera en place jusqu'en... 1872.
Ce qu'on sait
moins, c'est que Gasc dispose de contacts. Il a pris lien avec
l'abbé Jean Vie, curé de Rennes les bains, pour
opérer des fouilles dans son secteur qu'il s'est être,
par certains éléments trouvés, le siège
de la cache initiale du trésor. En cadeau, il lui offre
un tableau représentant une Crucifixion, oeuvre
de son talent. Ce tableau, toujours en place dans l'église
de Rennes les Bains, est la copie presque conforme d'une autre
toile, peinte aussi par lui, qu'il a offerte à un prêtre
de ses amis. Mais Jean Vie jettera l'éponge et, en 1855,
il fait part du peu qu'il sait à l'évêque
de Carcassonne qui n'est autre que Mgr de Bonnechose.
Gasc est désespéré
par cette situation.
Pendant près de dix ans, il va chercher un homme suffisamment
intelligent et dévoué pour résoudre une
énigme dont il n'a que des éléments fragmentaires.
C'est Mêche, son prédécesseur, qui lui parlera
de l'abbé Henri Boudet, jeune vicaire à Caunes
Minervois. Dès lors, Gasc va suivre avec la plus grande
attention la progression de Boudet jusqu'à sa nomination
(fortuite ?) à Rennes les Bains en 1872. Il était
temps car, la même année, le turbulent aumônier
quitte le sanctuaire de Notre Dame de Marceille. L'Évêché
" profite " de cette vacance pour y installer des Pères
Lazaristes. L'intermède des riches aumôniers avait
assez duré.
Pour comprendre
la suite, il me faut fournir quelques précisions. On a
compris que Mèche et Gasc (le premier ayant coopté
le second) avaient respectivement trouvé sous l'église
la crypte aménagée par François Fouquet,
lequel avait laissé des indices dans le sanctuaire probablement
destinés à son frère Nicolas, le Surintendant,
quand celui-ci serait libéré. Lorsque Mêche
découvrit cette crypte, il dut y trouver une grande quantité
d'or, laissée là lorsque l'acheminement s'est interrompu
à la mort de François Fouquet. On sait que la filière
s'est immédiatement arrêtée, puisqu'un autre
dépôt a longtemps subsisté dans l'un des
relais qu'empruntèrent les successifs chargements. Mais,
outre le dépôt précieux, il devait subsister
dans ce réduit des documents attestant de l'origine de
ce trésor avec un certain nombre d'éléments
permettant de remonter à la cachette originelle.
Sachant qu'il
ne serait pas éternel et ne voulant pas refaire la même
expérience décevante qu'avec l'abbé Vie,
Henri Gasc, pour pérenniser son message, confectionna
quatre Parchemins, les codant à partir de textes de l'Évangile,
et peignit une Piéta, copiée sur un célèbre
tableau de Van Dyck.
En dépit
de l'aide de son mentor, l'abbé Boudet mettra plus de
dix ans pour solutionner l'énigme. Hélas, Gasc
n'est plus de ce monde pour l'en féliciter.
Il se produit
alors quelque chose d'étonnant. Bien que jusqu'à
présent le secret de ce trésor ait été
l'apanage de prêtres, Boudet choisit de faire passer le
message dans le public. Il écrit donc son livre "
La Vraie langue celtique " en moins d'un an et le
publie en 1886. Mais c'est un échec. Ses rares lecteurs
raillent sa fantaisie et son ignorance du sujet abordé
(la Préhistoire et le Celtisme). Sur ces entrefaites,
il fait la connaissance de son confrère de Rennes le Château,
l'abbé Bérenger Saunière, promu à
cette cure l'année précédente. C'est un
homme de trente-trois ans, dynamique, qui se désole de
l'état déplorable de son église. Hélas,
il n'a pas les moyens de ses ambitions. Boudet décide
de l'aider. La décoration intérieure de l'église
sera l'illustration vivante de son livre.
Début
des années 1890, dès après la réfection
du gros oeuvre,
les vitraux, le tympan, la chaire et le confessionnal sont installés.
Boudet s'apprête à passer à l'étape
suivante lorsqu'en 1891, il se passe un événement
imprévu: Notre Dame de Marceille est mise en vente !
Depuis la Révolution, le sanctuaire marial est en indivision
. Elle se présente ainsi
- un quart appartient à l'Évêché,
qui en a hérité de l'abbé Mèche,
à sa mort, en 1864 ;
- un autre à un M. Andrieu, châtelain et notable
local ;
- un troisième à l'abbé Théodore
Lasserre, curé d'Alet les Bains ;
- le dernier, enfin, à un banquier de Laroque d'Olmes,
dans l'Ariège, un dénommé Bourrel.
C'est celui ci qui veut faire disparaître l'indivision
et réclame la vente du sanctuaire. Par jugement du tribunal
de Limoux, il obtient gain de cause. Mais ce n'est pas suffisant.
En appel à Montpellier, les juges retirent l'affectation
cultuelle de Notre Dame de Marceille.
Lasserre, pour des raisons sentimentales (ses aïeux aussi
bien maternels que paternels avaient sauvé la Vierge Noire
et le sanctuaire à la Révolution) s'inquiète
de cette main mise. C'est alors qu'une conversation avec son
ancien vicaire (1879 1882)... Bérenger Saunière,
lui apprend qu'un proche confrère dépense beaucoup
d'argent pour restaurer l'église de Rennes le Château.
Cette prodigalité n'est pas sans rappeler à Lasserre
celle qui caractérisait les anciens aumôniers de
Notre Dame de Marceille, Mèche et Gasc. Le problème
se serait il déplacé ?
Lasserre choisit d'entrer en contact avec l'abbé Boudet
grâce à un livre, une brochure écrite dans
l'urgence, et qu'il intitule : < Histoire du pèlerinage
de Notre Dame de Marceille, près Limoux sur Aude"
(Limoux, 1891). Elle se distingue surtout par les éloges
que l'auteur formule sans réserve à l'égard
de Boudet et par la reproduction in extenso du jugement du tribunal
civil de Limoux en date du 4 juin 1890 et qui ordonne la vente
du sanctuaire.
L'appel sera entendu. Boudet parle à Lasserre, lequel
informera Mgr Billard du secret de Notre Dame de Marceille. Désormais,
on va voir l'évêque de Carcassonne s'investir pour
racheter l'église mariale, usant de tous les procédés
jusqu'à l'illégalité. C'est ainsi qu'il
se lancera dans la captation d'un héritage, au risque
d'un procès que lui intenteront les héritiers spoliés.
Pierre Jarnac a raconté toute cette affaire dans ses <
Archives de Rennes le Château ", en 1988.
La vente du sanctuaire a lieu le 17 janvier 1893. Estimée
à 4000 francs, l'église est adjugée... 53
000 francs à Bourrel ! Mgr Billard aurait il perdu la
partie ? C'est mal le connaître. Au son du tocsin, il fait
retirer la Vierge Noire du sanctuaire. Pour le coup, NotreDame
de Marceille devient une coquille vide. Adieu les profits liés
au pèlerinage.
Officiellement, Bourrel est roulé dans la farine.
En fait, par acte secret devant notaire, Billard rachète
en son nom propre NotreDame de Marceille et paie une plusvalue
au banquier de 18 000 francs (environ 120 000 Euros) ! On sait
que l'Évêque de Carcassonne acquittera la somme
supplémentaire de II 000 francs à l'un des copropriétaires,
M. Andrieu, pour lever une hypothèque que celui ci avait
fait inscrire, craignant d'être la dupe de ce duo.
Et c'est une probabilité que l'opposition Bourrel Billard
n'était qu'un leurre. Billard souhaitant faire monter
les enchères de façon à ce que cette vente
soit hors des possibilités financières de l'Évêché,
pour pouvoir s'y substituer ensuite à titre personnel.
A ce point, il
faut nous interrompre pour revenir à Boudet. Pendant six
ans, le curé de Rennes les Bains suspend les travaux dans
l'église de Saunière. Il attend de voir comment
l'affaire du sanctuaire se déroule. Il s'inquiète
que l'on ait mêlé Bérenger saunière
à cette histoire. Mais, finalement, chacun a bien joué
son rôle. Rassuré, Boudet achève la décoration
de l'église. Elle pourra être inaugurée le
8 juin 1879, en présence de ... Mgr Billard. Le Père
Mercier, lazariste de Notre Dame de Marceille, fut présent
à la cérémonie.
Revenons maintenant au fil de notre récit.
Mgr Billard,
pleinement propriétaire du sanctuaire, était désormais
dans la situation de pouvoir exploiter le reliquat du dépôt
subsistant dans la crypte. Mais, la discrétion était
de rigueur.
En dépit de sa bonne volonté, l'abbé Lasserre
ne pouvait être d'un grand secours, le vieux curé
d'Alet les Bains devait décéder en février
1897. C'est donc à Saunière que l'on songea pour
le rôle du commis voyageur. Au terme d'un système
convenu, Saunière partait pour une destination avec, dans
ses bagages, des objets précieux. A chacun de ses retours,
des mandats affluaient à la Poste de Couiza. C'est ainsi
que Saunière était rétribué pour
ses services. L'argent qu'il recevait prenait l'apparence d'honoraires
de messes, payés par un certain nombre de communautés
religieuses - toujours les mêmes.
Quant à
Mgr Billard, il se donnait ainsi les moyens d'oeuvrer pour un
grand projet qui lui tenait à coeur: la restauration du
monastère de Prouille.
On connaît la suite. La mort de Mgr Billard intervient
alors que Saunière a déjà commencé
la construction de son domaine. Mais le curé de Rennes
a des " économies ", il pourra mener son projet
jusqu'à terme. Mais au delà ? Eh bien! Il mettra
à profit le système déjà mis en oeuvre
par Mgr Billard, mais cette fois se sont de véritables
honoraires de messes qu'il draine. Aux communautés religieuses,
se substituent des particuliers nobles et fortunés. Le
mystère réside dans la façon dont il a réussi
â les intéresser à son sort. Puis ce fut
le procès que lui intenta Mgr de Beauséjour. Les
tracas et une prédisposition aux accidents cardiaques
auront raison de lui.
Saunière décédera le 22 janvier 1917. II
aura toujours ignoré le rôle qu'on lui fit jouer
à Rennes le Château.
Pierre
Jarnac
bulletin Pégase N° 11 avril juin 2005 |
Pour
Information
Michel
Vallet
vient de sortir une réédition du livre de Henri
de Lens ,--Cent trésors, une énigme-- mais
que sur les chapitres consacrés à Rennes le Château
( 1977)
Le
titre du livre
De
Rennes le Château
A Saint-Sulpice
Lénigme du 17 janvier
Vous
pouvez le commander soit à la Librairie de Rennes le Château
soit directement chez
Michel Vallet
Pégase
1 rue des Aspres
66180 Villeneuve de la Raho
Prix
12 euros
L'Avènement le dernier
ouvrage de PSilvain
En cette
date anniversaire de l'arrestation des Templiers, L'Avènement
est disponible
en téléchargement sur le site de l'auteur, gratuitement.
http://www.rennes-le-chateau-la-revelation.com/avenement.htm
Les codes
à utiliser pour le téléchargement sont les
suivants (respectez bien les majuscules/minuscules)
Utilisateur
: Ulpian
Mot de passe : Iloveyou
Blanchefort
Le
mystère de Louis XVII
Voici
le dernier ouvrage de Jacques Rivière écrivain
bien connu dans l'affaire de Rennes le Château.
Son livre est en vente dans toutes les bonnes librairies et chez
son éditeur.
Plein Soleil - Editions Les 3 spirales
Place de la Fontaine
84760 St Martin de la Brasque
Tout commence
dans les îles de l'Océan Indien! Une rumeur persistante
affirme que ce mystérieux "Monsieur Louis",
exilé et mort à Mahé en 1856 serait en fait...
Louis XVII !
L'auteur se lance alors dans une longue et passionnante enquête
qui l'entraînera au coeur de l'Histoire dans les îles
lointaines et les archives de plusieurs pays où il découvrira
notamment... une lettre signée Louis Capet, adressée
à l'Archiduc d'Autriche où pour la première
fois dans l'histoire des prétendants, des noms sont cités
:
- le nom de son sauveur, Louis Poiré,
- l'année de l'évasion: 1793,
- l'action de Marie-Antoinette, auprès du Maire de Dunkerque,
Charles-Pierre Thiery de Bonte.
Sortent de l'ombre des agents secrets français et des
espions anglais, un ancien domestique de la comtesse de Polignac
et du redoutable Prince de Talleyrand- Périgord, un perruquier
de Dunkerque et tout un réseau d'espionnage à la
solde de l'Angleterre.
L'on apprend ainsi que l'Enfant du Temple a pris l'identité
de son sauveur, Poiré. On suivra ses traces jusqu'à
La Réunion, l'île Maurice puis dans l'Archipel des
Seychelles où, surveillé et menacé, il sera
autorisé à s'établir
comme colon.
Louis aura une nombreuse descendance dont trois fils et deux
filles légitimés. L'Église savait et enterrera
un Prince !
Un livre-évenement, dérangeant, aux conséquences
multiples. Un enjeu historique pour les Seychelles. Une énigme
résolue.
Une épopée formidable de la Tour du temple de paris
aux îles enchantées de l'Océan Indien, qui
furent pour le Roi perdu une tombe vivante
Pégase "le chaînon manquant"
Rennes le Château. Le bulletin
Le bulletin N° 7 est en vente
Sommaire :
- Bérenger Saunière et le "Faust"
de Goethe par Gérard Damion
- Péché sur un forum
- Les Grands-Maîtres du Prieuré de sion
- Réflexion sur un certain tableau :
Le Pape et la Pomme Bleue
- Les rebondissements d'une mystification :
Le Lazare de l'abbé Boudet
- Communiqué
- Les 4 passages secrets de l'église de Rennes le Château
- Retour sur le Château des Carpathes de Jules Verne,
par François Deremaux
- Additif. Note de Michel Bardot à propos du Karré
de "cinq"
-Le livre de l'abbé Boudet : le secret de la carte
-Les sculptures et les cavités des anciens piliers d'autels,
par Patrick Mensior
-"Le dossier Bigou"
-Rennes le Château : arrêté municipal
Pour toute correspondance : Pégase
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Pégase "le chaînon manquant"
Rennes le Château. Le bulletin
Le bulletin N° 6 est en vente
Sommaire :
- Rennes le Château : une affaire d'état
? par Gérard Damion
- Le 17 janvier 2003 : Rennes le Château / Rennes les Bains
/ Paris
- Notion sur le gnomon de Saint Sulpice
- Les tribulations d'un chercheur, par Patrick Mensior
- Le secret de Blanchefort ou la fortune de France, par Henri
Buthion ( propos recueillis )
- Le tympan de l'église de Rennes le Château, par
André Salaün
- L'O.D.S. communiqué
- Le "Château des Carpathes" de Jules Verne,
par Jean-François Deremaux
- Quelques observations sur une maquette, par Patrick Mensior
- Petit Armorial des communes du Pays de Rennes
- Mgr Billard, lettre curieuse
-Prieuré de Sion . Lettre ouverte
Pour toute correspondance : Pégase
- 1 rue des Aspres - 66180 Villeneuve de la Raho - France
Article de l'indépendant
Lundi 18 novembre 2002
Rennes le Château
La vie secrète de l'abbé Saunière
Avocat au barreau d'Albertville,
en Savoie, André Salaün se passionne depuis
toujours pour l'histoire. De par son métier, seuls l'intéresse
les faits, ces socles sur lesquels s'appuient les historiens
- et les avocats - pour démontrer une thèse.
Mais dans le livre qu'il vient de publier : "Le secret
de Bérenger Saunière, curé de Rennes le
Château" ,ce n'est pas une thèse qu'André
Salaün démontre. Il y démonte plutôt
les hypothèses qui, au fil des quarante dernières
années, ont tenté de démêler le mystère
qui règne sur ce village accroché au flanc des
Corbières. Au passage, il démystifie les théories
oiseuses élaborées autour de l'insaisissable trésor
que le célèbre abbé aurait découvert,
puis caché, et dont il aurait usé pour édifier
ces bâtiments que des milliers de visiteurs peuvent encore
voir chaque année..."J'ai lu beaucoup de livres
sur cette affaire et la plupart d'entre eux m'ont paru plus que
suspects. Alors je me suis dit qu'il fallait clarifier tout ça
et j'ai tout repris depuis le début"
C'est ainsi qu'il écarte, documents à l'appui,
les différentes explications avancées par ses prédécesseurs
: l'hypothèse des templiers, Cathares, Wisigoths et autres.
Un passage retient plus particulièrement l'attention,
celui où il reprend les pièces du procès-verbal
sur l'assassinat de l'abbé Gélis, un meurtre
inexpliqué. "L'abbé Gélis
percevait de l'État un traitement annuel de 900 F, touchait
quelques fermages très modestes et, selon sa comptabilité
dépensait 700 F dans l'année." Or l'abbé
remettait chaque année à l'abbé Gayda,
de Trèbes, une somme de 1000 F pour les placer en obligations
de chemin de fer. "Quelle était la provenance
de ces revenus importants ?", se demande André
Salaün. Et qui l'abbé Gélis recevait-il
discrètement chez lui ?
L'auteur se lance alors sur la piste explicative, mais néanmoins
hypothétique, d'une société à laquelle
aurait appartenu la victime.
"A l'époque, l'ésotérisme était
à la mode. Les sociétés secrètes
étaient légion et parmi elles se trouvait la "
Fraternité Rose-Croix" dont étaient membres
Nicolas Pavillon, Mgr Fouquet, évêque
de Narbonne, et Vincent de Paul."
L'abbé Saunière, lui aussi, aurait eu -
apparemment - partie liée à l'une de ces sociétés
dont le but était d'instaurer une monarchie indépendante
de la papauté. Des sociétés qui disséminaient
leurs finances à travers la France, voire l'Europe, en
les confiant à des nobles et des prélats qui en
avaient la garde. "J'avance une hypothèse, rien
d'autre", précise André Salaün.
Une de plus. Son livre a le mérite de défricher
le terrain. En revanche, son interprétation finale de
l'historicité de Jésus-Christ pourrait faire tiquer
plus d'un exégète.
DOUZET
- écrivain
Série
'Dossier Rennes-le-Château' disponibles
Cahier N°1
:
"
Le Numéro Spécial qui n'existait pas ".
Résumé et point actuel sur les recherches nouvelles
depuis 5 ans (la maquette, le Pilat, Lyon, Roussillon, documents)
Cahier N°2
:
" Arques - ouverture sur un secret ". Nouveaux
éléments sur l'église de Arques, le 'tombeau
des Pontils, les juifs de Arques, le Jésus à la
poire, le rapport avec les Lupé, etc
Cahier N°3
:
" La maquette ". La fameuse maquette dite 'de
Saunière'>. L'objet , sa découverte, ses éléments,
constats, détails . Les documents en faisant état,
les erreurs et les révélations sur un autres secteur
que Rennes le Château
.
Cahier
N°4 :
" Lieux mystérieux de l'affaire. Durban/Corbières
- Opoul - Périllos ". L'implication de ces trois
communes dans l'affaires, des documents et infos oubliées,
peu connues, les familles de périllos savait le secret,
le village mort et ses grottes.
A paraître dans cette série :
en septembre,
Cahier N°5 :
" Marie-Madeleine , ses énigmes et raisons dans
l'affaire de RLC ". mots et Maux de la bible, l'éternel
retour de la sainte , du Roussillon à Vézelay,
les confins du Roussillon et le Pilat , Lyon ; Marseille et Maguelonne.
RLC, les éléments 'magdaléniens, Bérenger
selon Madeleine.
En décembre,
Cahier N°6 :
" Mosaïque oubliée sur RLC " série
d'éléments et faits insolites jamais étudiés
sur RLC : le presbytère, le jardin, les alignements du
passé, la citerne, la bibliothèque, le cimetière
et le pressoir sans fond.
A la suite : Saunières et les sociétés secrètes.
Série 'templier'
Cahier N°1
:
" Les templiers au combat, ClémentV, Montsaunés
(1ère partie), Avignon et le pape à la Licorne,
Planès énigme templière ?, Secte : attention
danger, le temple et la B.D. 'Timour', l'heure du temple, le
temple et la Gnose
Cahier 'templier'
N°2,
octobre : Montsaunès (suite) approche des peintures templières,
l'Europe
revanche des Templiers?, Rochemaure et le 'carré
magique', Le temple et la 'bande dessinée': Le Gal, 'l'heure
du temple', Réalité templière : la rafle
du 13 octobre 1307 , F. BREGHOT DU LUT
hypothèse
des 'Pagan' .
Série 'Société
Périllos'
Cahier N°1
:
origine du nom Périllos, légende du Babaos, le
pèlerinage de Ramon de périllos, une étrange
statue, Ste Barbe et une autre, 4 documents historiques annexes.
Cahier N°2
:
Les expériences KEO et CHRONODROME, les grottes du territoire
de Périllos : 1) 'La Caune', attention danger ! site en
voie de disparition, Ramon de Pérellos et l'ordre de Malte,
L'énigme des Périllos, "Si Dieu le veuille
bien je serai de retour", document: La cartographie de Périllos,
Société Périllos, les projets.
Tarif : Les séries Rennes-le-Château
et 'templier' sont au tarif unique de 1,55 E le numéro
La série Société Périllos : 1,05
E le numéro
S'adresser :
André Douzet
BP N° 19
11360 DURBAN/CORBIERES
E-Mail
:
delbaeth@wanadoo.fr
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