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du cercle et du carré de même surface Introduction Cela a été signalé au début de l'exposé, la formule mathématique qui est utilisée pour l'équation approximative de Pi n'est pas issue d'un calcul pour recherche sur Pi, mais elle est une adaptation de la valeur connue du nombre Pi, suivant une tolérance pour l'exécution du tracé inférieure à 5 /1 000 000. La valeur 3,1415926535897932384626433832795 etc. . connue pour Pi, prise dans sa plus grande précision ne présente aucun intérêt de construction d'une représentation graphique. C'est donc la surface et non l'aire qui est l'objet de cet exposé. Si tant soit peu l'aire pourrait être à l'algèbre algébrique ce que la surface est à la géométrie Pour présenter un ordre de grandeur, l'erreur utilisée est comparable à une distance de 200 mètre, si était faite une mesure précise du périmètre de la terre. Nos anciens faisait il la différence ?, selon le dire de " PLATON " qui disait le détenir de prêtes Egyptiens, la quadrature du cercle serait inscrite dans la construction de certaines pyramides, qui contiendrait transcrite la somme des connaissance connues de ce temps. Le nombre d'Or à très largement été utilisé par les bâtisseurs de tous temps, à en croire PLATON, on ne pourrait mettre en doute l'image de Sagesse représentée par l'homme ou les hommes qui ont signé sous son nom ; il était dés lors, une hypothèse selon laquelle il pourrait exister une relation entre le nombres d'Or et la " quadrature du cercle des " géomètres". La valeur connue du nombre d'Or est 1,618 ; or ce nombre possède une particularité : multiplié par lui même, c'est comme s'il avait augmenté d'une unité. L'équation prend la forme : x2 = x + 1
Article réalisé par Beecham lelong.bonnaric@free.fr
En effet si l'on regarde la position de ces mots par rapport à la carte on se rend vite compte que ces quatre lettres sont placées verticalement exactement à l'endroit où passe...le méridien de Paris, ex méridien zéro. Quand on a voulu faire les premières cartes planes pour représenter la terre, on s'est vite rendu compte qu'il y avait une certaine difficulté à représenter à plat ce qui dans la réalité est arrondi à cause de la courbe terrestre. On obtenait nécessairement une déformation qui à l'échelle du globe ne représente que quelques millimètres mais qui rapportée à une échelle locale peut donner des distances complètement erronées. L'idée de faire une projection conique est une invention de Ptolémée au 2ème siècle de notre ère. En 1772 Jean-Henri Lambert définit un système de projection du globe sur un cône tangent à un parallèle donné et dont le sommet se situe au dessus du pôle. Ce système est utilisé en France comme référence pour tous les travaux cartographiques. Ce procédé divise la carte en petits carrés de 1km de côté. 55gr pour le Lambert I 52gr pour le Lambert II 49gr pour le Lambert III 46gr 85 pour le Lambert IV (Ici les mesures des parallèles sont en grades.) Ainsi Henri Boudet cache dans une légende assez anodine la véritable légende avec laquelle il faut utiliser sa carte et son livre. Cette légende c'est "servez vous du méridien de Paris et du carroyage de Lambert". Cette stratégie de la légende à double sens est tout simplement géniale; elle est, s'il le fallait, la preuve de la finesse d'Henri Boudet, chapeau monsieur l'abbé! Si un doute vous effleurait encore, les coordonnées de Rennes les bains, dans le carroyage de Lambert II étendu sont : 598500 m de longitude c'est à dire à 1500m du méridien 600 et 1768400 m de latitude un chiffre qui laisse rêveur si on l'écrit 17 684... Si on cherchait la latitude du point :17 681 ce serait à 300 m du centre de Rennes (de la mairie environ), c'est à dire du coté de la fontaine du Cercle au centre du petit cromlech de l'abbé Boudet. Mais cela est une autre histoire... Dans l'avant-propos de son livre, Boudet est préoccupé de mettre par écrit un message, concernant une importante tradition sacrée liée à la Gaule et en particulier à RLB. Boudet a retrouvé cette tradition en utilisant ses connaissances personnelles d'érudit. On a le sentiment que cette tradition occulte, arrivée finalement dans le Languedoc, provient de contrées lointaines et que son origine a été perdue par ceux qui en étaient les dépositaires ou qui en ont eu connaissance fortuitement. Cette tradition lui a permis de découvrir le monument de RLB qui n'est pas, bien sûr, cet hypothétique cromlech élaboré à dessein. Dans ses observations préliminaires, en citant J. de Maistre, Boudet nous apprend que le verbe et l'or sont liés (noms et mines): en parlant d'une supposée langue originelle, il nous parlera d'une tradition liée à un trésor sacré. Cette clé sera dans le codage linguistique de l'hypothétique langue originelle. Cette tradition liée aux Celtes s'achève à RLB où il exerça sa cure. C'est par les Volkes Tectosages qu'elle est arrivée en Gaule, ceux-ci étant dépositaires de celle-là. L'étude de cette tradition conduit à l'étude du secret des dépôts situés à RLB. Quand Boudet nous parlera de la langue, il nous parlera en réalité d'une très vieille tradition trésoraire. C'est par analogie qu'il nous révèlera ce secret. En effet, la langue est comme la tradition sacrée. Elle est supportée par un langage qui est composé de termes, de noms. La tradition, elle, se rattache à un trésor sacré qui est composé de dépôts. De même, le cromlech lieu sacré, est représenté sous la forme d'un monument formé de roches. D'où les correspondances suivantes: La tradition sacrée Le trésor sacré Les dépôts La langue Le langage Les termes Le cromlech Le monument Les roches Il suffit alors d'appliquer la substitution des termes. La tradition sacrée des Celtes et l'ensemble des dépôts de Rennes-les-Bains Le titre donné à cet ouvrage semble, au premier abord, trop prétentieux pour être rigoureusement exact. Il est facile, toutefois, d'en démontrer la vérité, puisque la tradition trésoraire celtique n'est point une tradition morte, disparue, mais une TRADITION TRESORAIRE EXISTANTE, colportée dans l'univers par des millions d'hommes. Le trésor sacré d'une nation aussi puissante que l'était la nation gauloise, aurait-il pu se perdre ainsi sans laisser aucune trace ? Est-il bien surprenant qu'un groupe de notre Europe se serve encore, pour atteindre ses buts, de dépôts sortis de la mine, cachés par des hommes aux temps les plus reculés du monde? Sans doute, ce groupe, qui cherche aujourd'hui avec ardeur à renouer le fil de ses traditions interrompues, ignore les diverses migrations de ses valeureux ancêtres, mais avec l'étude de sa tradition locale, il peut se livrer à des recherches, qui, certainement, seront couronnées du plus heureux succès. La tradition sacrée vivante, à laquelle nous faisons allusion, nous a puissamment aidé à découvrir le magnifique dépôt celtique existant à Rennes-les-Bains, et, de son côté, l'étude de ce dépôt nous a conduit avec sûreté à des déductions concernant son origine qui nous semblent difficiles à réfuter. C'est ainsi que l'ensemble des dépôts de Rennes-les-Bains se trouve intimement lié à la résurrection, ou, si l'on veut, à une révélation inattendue de la tradition sacrée celtique. Mais quid du Celtisme? "La facilité avec laquelle les pronoms personnels de la langue Anglo-Saxonne expliquent le nom divin de Jehova, nous amène à croire que les Celtes étaient loin d'ignorer et ce nom et sa véritable signification, puisque les relations de la Gaule avec l'Asie étaient incessantes par les émigrations vers l'Occident de nouvelles peuplades celtiques" (p. 36, Ed. Bélisane). "Il ne faut pas s'étonner outre mesure de ce que les Celtes eussent des connaissances religieuses fort étendues; ils avaient apporté de l'Orient les notions les plus exactes sur l'Etre Divin,..." (p. 247). "... nous sommes étonnés de cette parole de César et de cette doctrine mystérieuse des Gaulois, affirmant que la vie d'un homme doit racheter la vie de l'homme pour satisfaire pleinement la justice divine." (p. 253). Apparemment, le Celtisme et le christianisme sont intimement liés (fille de l'église). Mais le triptyque Tradition/Langue/Cromlech ne rappelle-t-il pas la Trinité chère à un prêtre comme Boudet? François D. Evidemment, un nombre respectable d'auteurs les certifiant authentiques, les publient ou les citent. D'autres prétendent que la Mairie de Rennes détient des copies < exactes >. Cela amuse un moment les intéressés ! Peut-on se fier en pareille étude à des présomptions de véracité ? Quelqu'un a-t-il vu les originaux ? Qui les détient ? Pourquoi sont-ils occultés, puis vulgarisés ? A cette dernière question, deux réponses sont possibles : 1) l'histoire est vraie : ces documents représentent une source indispensable d'informations ; ils donnent aux chercheurs un <vecteur d'orientation>, qu'il est impensable de laisser à la portée du plus grand nombre,... à moins de les avoir préalablement <trafiqués> ! 2) l'histoire est fausse : ces documents ont été inventés, créés de toute pièce ; pour les rendre crédibles et leur conférer du sérieux le procédé de divulgation consiste bien à ne les faire connaître qu'indirectement. C'est ce qu'on appelle de l'intoxication ! Le facteur commun à ces deux propositions est le caractère de faux qui s'attache à ces documents ! A moins que... + + + Le secret des blanchefort, tel que l'on tente de nous le faire concevoir, semble aboutir à une fortune cachée, d'une inestimable et noble valeur. A peu prés tout le monde - non scientifique, à quelques exceptions près - est d'accord sur ce point. Sachant cela, peut-on envisager sensément la divulgation de la clef de l'énigme, du moins d'une pièce maîtresse de l'édifice permettant de comprendre ? A aucun moment ! Au contraire, les détenteurs du secret n'ont-ils pas intérêt à rejeter dans l'obscur, avec prudence, toute indication sérieuse ? Ainsi pour nous... <...la pierre qu'ont rejetée ceux qui bâtissaient est devenue la principale de l'angle...>. Luc 20-17 Aussi, bien que pressentis être d'origine incertaine, analyserons-nous ces fameux manuscrits. + + + <Quiconque tombera sur cette pierre s'y brisera et celui sur qui elle tombera sera écrasé...>. Luc 20-18 Ecrits en latin, d'une calligraphie médiévale maladroitement imitée, les deux premiers manuscrits sont tirés des Evangiles : Jean XII (1 à 11) et Luc VI (1 à 5). <Le troisième, sous forme de litanies, donnait la généalogie des descendants du Saint-Roi Dagobert II, de l'an 681 à mars 1244, date du mariage de Jean VII avec Elisende de Gisors. Il portait, affirme-t-on, la date du 14 mars 1244 et le sceau de Blanche de Castille, Reine de France.> Le quatrième et dernier donnait <le texte du testament de François-Pierre d'Hautpoul, Seigneur de Rennes et Bézu, acte comportant la généalogie des descendants Mérovingiens de 1200 à 1644, ainsi que six lignes touchant St-Vincent de Paul. Ce parchemin portait la date du 6 novembre 1644, enregistré le 23 novembre 1644 par Captier, Notaire à Espéraza.> C'est du moins ce qu'affirme M. Philippe Toscan du Plantier dans son opuscule intitulé <Dossier secrets de H. Lobineau>; texte que nous analyserons au chapitre <des documents fantaisistes ou d'origine incertaine>. De ce fait le document que nous reproduisons, sans pour autant en connaître l'origine exacte, est différent de celui que cet auteur a vulgarisé. Il est plus complet. Nous retiendrons que ce sigle en signature renvoie à son homologue porté par la dalle et in arcadia ego. - La pierre a des croix pattées dans son texte grec ; - Le manuscrit des croix grecques dans un texte latin, - Comment ne pas penser : et in arcadia ego ?... Tout comme l'épitaphe de Marie de Blanchefort, le texte du petit manuscrit offre des particularités étonnantes... - des lettres sont surélevées par rapport à la ligne d'écriture, d'autres sont abaissées, - un curieux idéogramme qui sert d'en-tête, - des lettres grecques y figurent, ainsi que trois croix grecques, - en outre, la disposition des quatre dernières lignes fait apparaître le mot Sion, - une date y est cachée, - des mots latins sont rajoutés au texte de l'évangile. Cette partie d'étude sera laissée à la discrétion du lecteur. Le petit manuscrit trouvé par l'abbé, dans le pilier sculpté de l'église Sainte-Madeleine, porte pour texte cette parabole des épis de blé. Le choix même de ce thème revêt un sens profond qu'il ne faut pas rejeter. Ne nous est-il pas suggéré par le maître, à nous disciples ou pharisiens, de prendre nos nécessités là où elles se trouvent, lorsque nous en avons besoin !... - Certaines sont surélevées et forment une phrase très explicite : A Dagobert II roi et a sion est ce trésor et il est la mort. La ponctuation confère à cette phrase un sens différent : A Dagobert II, roi, et a sion est ce trésor. et il est la, mort. - d'autres lettres sont abaissées de la ligne d'écriture : la 14ème de la deuxième ligne : la 17ème de la troisième ligne : S la 34ème de la quatrième ligne : T Le théta grec, , est ici un <O>. Le mot <OST> apparaît : venant du latin HOSTIS, ennemis, il désigne en français ancien l'armée, l'expédition militaire. Il perd bien de son mystère si nous le retournons. - Nous retrouvons de nouveau l'alpha et l'oméga : Si ces deux lettres sont ordinairement de simples symboles Christiques, ici il en est décidément autrement : - On les retrouve dans la graphie de la dalle horizontale, première et dernière lettres de la colonne de droite adiaego ; elles permettent de traduire la phrase dans la paix de dieu. - Le pilier sculpté est remis à l'endroit grâce à elles, - le sens présent est de nous inciter à retourner le texte, sans qu'il soit précisé lequel, pour les opérations à venir. - La prolongation de la branche supérieure par la droite <1>, aboutit très exactement en la croix <a>. La droite <3> prolongeant la branche verticale gauche de l'alpha coupe au point <d> la droite <2>, déterminée par les deux croix <a> et <b>. Par construction, le triangle <e> est isolé. Il n'est l'objet d'aucune particularisation ; il n'est sur aucune droite, il se situe pourtant dans l'espace triangulaire délimité par les trois croix grecques. Il semble donc que toute la construction géométrique n'a eu qu'un but : mettre le triangle <e> en valeur. + + + L'idée vient de suite que cette triangulation se rapporte à une carte. Confirmation est donnée lorsque, de l', on trace la droite < - a>. Elle a une pente de 103° Est. C'est très exactement l'inclinaison de l'axe fictif qui joint l'église de Rennes le Château à celle de Rennes les Bains. Cette base étant trouvée, il ne reste qu'à projeter la figure obtenue sur une carte détaillée, en conservant tant les angulations, qu'un rapport constant entre les dimensions et les distances. - On observe alors qu'représente Rennes le Château, et sa pointe extrême gauche, origine des triangulations, soit le cimetière, ou l'église Ste-Madeleine, ou encore la Tour Magdala. - La croix <a> est à l'église de Rennes les Bains, ou en son cimetière,
- celle notée <b> représente un lieu situé à 100 m, au sud-est de La Valdieu (propriété privée). - la croix <c> positionne un lieu sis à 200 m au NNE de l'aven des Lagastous, - tandis que le point de rencontre <d> se tient... dans la cour de la ferme des Gavignauds (propriété privée). De suite, on s'aperçoit, et la triangulation le prouve, que le triangle <e> mis ainsi en évidence représente, avec une étonnante précision, la Pique de La Valdieu. - ligne 10 : Le mot domum des évangélistes est devenu dumum. Cette faute était rendue nécessaire pour le scripteur vu le double sens qu'il entendait lui faire supporter. En effet, un mot grec apparaît si nous le retournons: Ce mot Olene signifie en grec : L'avant-bras. - ligne 13 : Les lettres lues à l'envers deviennent : Soit le mot grec Theke qui signifie : Coffre. Peut-être s'agit-il là d'un jeu de mot dont l'expression formerait la fin d'une phrase :... qu'offre l'avant-bras. Ce cryptogramme, comment ne pas l'appeler ainsi, est vraiment une oeuvre féconde ! Diverses considérations nous entraînèrent à étudier la disposition des points qui y sont disséminés. A l'origine de notre démarche les deux théta, lettres grecques, insérés dans le texte latin : le premier est en deuxième ligne, le second en avant-dernière ; de part et d'autre du mot grec retourné theke, le coffre. Cette disposition symétrique et la présence de points qui les signalent sont bien faits pour attirer l'attention. Nous observions alors que deux points repéraient aussi le mot grec retourné olene, l'un d'eux étant dans une boucle de l'oméga. En troisième ligne, le C de Discipuli (ou le G de Dagobert II, comme nous l'avons vu plus haut) est signalé d'un point ; l'accent de blés et le point d'exclamation en forment deux encore ; le dernier est situé au <nord-est> de l'alpha d'en-tête. La présence de deux <>symétriquement disposés, les points dans leur voisinage font envisager une nouvelle triangulation. La présomption s'avère juste : les points 1, 2, 3 sont parfaitement alignés, qui plus est, l'imaginaire les reliant coupe la première ligne de texte en <A>, la dernière en <N>. Les points 4 et 5 sont alignés sur le triangle (la Pique) et la croix représentant l'Aven. Le lecteur pourra vérifier que 4 et 5, transposés sur la carte, sont situés quelques centaines de mètres au sud de la Fontaine des Amours, près du Serbairou. 6 est sur l'axe qui joint la croix (la Valdieu) au triangle ( la Pique). Il peut être situé au nord-ouest du Sarrat de la Roque, à 700 m en ligne droite à E.N.E de Rennes le Château. L'axe 7-8 aboutit lui aussi à une croix (l'Aven) ; 7 est près du ruisseau de Carla, tandis que 8 est près de celui des Coumelles. 9 est sur l'imaginaire créée entre 3 et 5. Il est alors sur le Pech de la Roque, à 750 m au S.E de La Valdieu. Il serait instructif d'étudier sur le terrain si des signes remarquables n'ont pas été tracés sur ces emplacements. Il semble toutefois, par l'étude qui vient d'être faite, que nous nous trouvons en présence de deux <messages> combinés. 1) par les théta apparaissent les deux lettres <A> et <N> grâce aux points ! et 2-3 de Olene ; 2) en complément, les autres axes : - croix (Aven) - triangle (la Pique) - points 4 et 5 de Theke (le coffre), axe qui coupe le précédent à angle droit ; - croix ( Rennes les Bains) - triangle (la Pique) - point 2 ; - croix (La Valdieu) - triangle (la pique) - point 6 ; mettent en évidence le rôle primordial que l'on a fait jouer à la Pique de La Valdieu. Monsieur Cheza, en chercheur averti, nous communiqua un de ses résultat d'étude. La découverte qu'il fit est indéniablement intéressante : <Prenons les quatre dernières lignes du parchemin dont les lettres finales forment le mot Sion ; en utilisant une clef de lecture alternée deux à deux, et d'autre part les lettres dépassant du texte, on ajoute à celles-ci les deux dernières lettres de chaque ligne, puisqu'elles figurent sur le sceau (?), on obtient : Ici, un cas particulier se pose, car le mot, à calligraphie différente, est repéré par deux points. J'ai eu le sentiment que d'une part, le point inférieur signale que le mot doit être utilisé seul - donc changement dans le codage - et d'autre part le point supérieur signale que le mot doit être lu à l'envers et ici aussi utilisé seul.> La traduction intégrale donnerait donc : Et vie sois la mon coffre Sa tombe, dans le cimetière de la petite ville thermale, attire peu l'attention du profane. La graphie de son épitaphe nous fera pourtant sursauter : Alors que le prêtre est décédé le 31 août, la date que porte sa tombe est le 1er Septembre. Or, le 1 de premier et le 7 de Septembre sont plus grands que les autres chiffres gravés sur la pierre. Ce n'est pas sans raison ! <...1, 7, Jean Vie, 1872> Nous ne sommes pas loin de penser à la dalle mortuaire de Marie de Blanchefort, décédée, elle, le 17 janvier 1781. Quel rapport unit ces deux tombes ? Qui a gravé cette stèle ? Dans quel but ? Est-ce l'abbé Jean Vie qui s'amusa un jour à graver son nom sur l'un des Roulers du plateau de l'Homme mort ? + + + Quoi qu'il puisse en être, si l'observation de M.Cheza n'est pas due à un hasard malicieux, le petit manuscrit a été rédigé du temps où vivait Jean Vie, à partir de 1840 ; mais avant 1887, première date possible de la découverte des parchemins par Béranger Saunière. ... qui veut dire les disciples, a une graphie permettant d'extraire le nombre 1861. Or, comme nous le verrons bientôt, le peintre Eugène Delacroix termina sa trilogie de la Chapelle des Anges en l'église Saint-Sulpice de Paris, précisément en 1861. Si l'on considère que les points situés sous les mots grecs indiquent de les lire <à l'envers>, l'idée vient de retourner le <6> pointé de 1861. 1891, date de la Mission rappelée par le pilier sculpté que fit graver Saunière,... Serait-il le concepteur des documents ? ! La coïncidence est curieuse ! - Un codage simpliste aborde le vif du sujet : A Dagobert II roi et a Sion est ce trésor et il est la mort. - Nous incite-t-on, par l'OST, à la vigilance durant nos recherches, tout comme l'expédition militaire se doit de le faire en territoire ennemi ? - Un judicieux positionnement de 3 croix grecques nous désigne La Pique de Lavaldieu, sur un territoire délimité par Rennes les Bains, la ferme de Lavaldieu et l'Aven des Lagastous. La précision est surprenante ! - L'on nous parle en code d'un Coffre et d'un Avant-bras ! - Lorsque coup sur coup deux coïncidences troublantes vont nous laisser perplexes. La conséquence qui s'en dégage pourrait infléchir notre conception du problème : 1) Référence est faite à Jean Vie, Curé de Rennes les Bains depuis 1840, 2) Une date est lisible, insérée habilement dans le texte : 1861 ; date remarquable puisqu'elle figure sur les tableaux peints par Eugène Delacroix, à la Chapelle des Anges en l'église Saint-Sulpice de Paris. + + + Si le hasard n'est pas à l'origine de ces observations, le texte du manuscrit est Postérieur à 1861. Il n'a donc pas été écrit par Bigou, décédé en fin du XVIIIe siècle. Le parchemin a donc été placé 80 ans Après la mort de Marie de Blanchefort dans la cache indiquée par son épitaphe codée ! Quelqu'un aurait, donc, connu le secret de l'épitaphe et du pilier sculpté 24 ans Avant Béranger Saunière ! Le rebondissement est de taille ! Une question s'impose : quel a pu être cet homme, digne continuateur de l'oeuvre de Bigou ? Si l'on se souvient d'une autre coïncidence relevée plus haut, un fil conducteur peut être retenu. Lors de l'analyse, au chapitre IV, du <texte complémentaire> de la dalle horizontale et in arcadia ego, nous avons considéré la suite de lettres LIXLIXL. Celle-ci se laissait traduire entre autres par 51, 41, 40. Nous observions alors qu'un livre, paru en 1886, citait ces chiffres, les attribuant aux températures des sources thermales de Rennes les Bains. Son auteur pourrait bien être celui du manuscrit qui nous préoccupe. L' Abbé Boudet, né à Quillan le 16 novembre 1837 et ordonné prêtre le 25 décembre... 1861, fut, en effet, le successeur de l'abbé Jean Vie en 1872, ce dernier étant mort. Le message commence donc par cette ligne... ... et factum est eum in... (sabbato secundo primo) Elle ne correspond ni au texte exact de Luc VI-I à 5,... ...factum est autem in... sabbato secundo primo. Ni à celui de Marc II-23 à 28,... ... et factum est iterum cum... dominus sabbatis. Cette symbolise de deux textes en un, et l'existence d'une erreur de transcription, le C de Cum devenant E, fait penser à la mise en place d'un code. L'alpha rectiligne de l'idéogramme d'en-tête ne représente-t-il pas le chiffre arabe <4>. Tout étant bien considéré, nous extrayons du texte toutes ses <4> lettres : eft a ctu m est e umi n ... < Qu'il en soit ainsi ! > Les mots solis sacerdotibus acceptent deus sens : ... Réservé aux seuls prêtres... ... Pour les prêtres du Soleil... |