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autres la saisie des biens de l'abbé Bigou, curé de Rennes le Chateau. |
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Né à Paris en 1615. Mort à Pignerol en 1680, Nicolas Fouquet, vicomte de Vaux, Marquis de Belle-isle, conseiller au parlement de Metz. Il est nommé surintendant général des finances. Il accumule une fortune colossale, fait construire le château de Vaux-le-Vicomte ( 1656 - 1658 ) Louis XIV le fait arrêter en septembre 1661. La chambre de justice le condamne au bannissement perpétuel et à la confiscation de ses biens en 1664. Louis XIV transforme la peine en emprisonnement à perpétuité. et son étude par Franck Marie Dans la première édition du livre de Gérard de Sède (Rennes le Château où la vie insolite de Bérenger Saunière curé de Rennes le Château °éditions Julliard 1967 ,le parchemin sot pêcheur n'est pas encore publié , nous supposons que Gérard de Sède n'avait pas encore ce parchemin au moment de la parution de son premier ouvrage . Le parchemin apparaît pour la première fois dans (le trésor maudit de Rennes le Château ) édition (J'ai Lu ) 1967 . Voici un lien vers l'excellent site de Patrick Pourtal http://www.rennes-le-chateau.org/enigmes/sot-pecheur.htm Editions Vérités Anciennes
1) - de faire glisser le texte d'entourage inintelligible, afin que le dernier mot du texte interne : CURH devint CURE. 2) - il fallait appliquer la
double clef 3) - ce premier résultat obtenu, il s'agissait de replacer l'ensemble en tenant compte d'une progression de 25. 4) - il fallait placer ce nouveau résultat sur un échiquier. 5) - puis opérer la réussite de l'un des cavaliers 6) - le résultat final donnant N'ayant pas la prétention d'infaillibilité, nous n'affirmons pas que ce développement est faux - il aurait été nécessaire de prouver qu'il le soit -, néanmoins, fondant notre idée sur la logique de l'affaire, nous l'observons avec un fort scepticisme. Autant le dire tout de suite, le message chiffré a résisté à nos efforts de traduction ; or, il est évident que Saunière, s'inspirant de ses antécédentes découvertes, a fourni avec les clefs le moyen de déchiffrer son cryptogramme. A cet effet l'oméga-alpha de la ceinture de lettres qui entoure le texte central est placé de part et d'autre des vingt lettres de la dernière ligne. Reconstituer l'alpha-oméga revient à faire glisser cette ceinture de manière à ce que les 20 lettres se positionnent en première ligne. Il apparaît alors qu'un E se retrouve à proximité de la fin du mot CUR..., un nouveau glissement reconstitue CURÉ. D'autre part, les traducteurs ont affirmé l'usage du mot clef BETHANIE. Or, le groupement de lettres situé en l'angle haut-gauche du cryptogramme... P o S . V O U . ... rappelle étrangement la position respective des rosaces P et S de l'église Saint-Sulpice par rapport aux points cardinaux P o S O II est tentant d'envisager la prise en compte d'une clef St-Sulpice réduite aux huit lettres SSULPICE. Deux paramètres, sans doute si évidents qu'ils échappent à l'observation, entravent la découverte logique du sens de ce cryptogramme : l'origine et le sens de lecture de la ceinture de lettres. sur la venue des premiers chrétiens dans la région de RLC Cet article tenterai partiellement de donner raison à P.Silvain et a ceux qui soutiennent la thèse du tombeau du christ dans la région.
Une nouvelle fois rassemblés
dans le cadre de la chapelle de St-André où ils
ont assisté à la messe pascale célébrée
par l'abbé Georges Passerat, Jean-luc Bénet et
ses compagnons bâtisseurs de cathédrales auront
pu lever une petite part du mystère gravé dans
la pierre : cette basilique paléochrétienne minutieusement
restaurée depuis 1990 serait donc en réalité
une synagogue mérovingienne et Roubichoux signifierait
en araméen, " Fondation de la terre heureuse du fenouil". Cette carte de Jérusalem nous a été communiqué par Jdrouen qui semble t-il voit une corrélation entre cette carte de Jérusalem et la géographie des alentours de Rennes les Bains. Vous avez toute discrétion pour lui poser des questions à ce sujet sur le forum.
Résultat du décryptage de ces deux parchemins a la rubrique décryptage Photocopie des archives de la mairie de Quillan
J'ai rendu à M. POUSSIN la lettre que vous luy faites l'honneur de luy escrire ; il en a témoigné toute la joie inimaginable.( ... ) Luy et moy nous avons projetté de certaines choses dont je pourray vous entretenir à fond dans peu, qui vous donneront par M. Poussin des avantages (si vous ne les voulez pas mespriser) que les roys auroient grande peine à tirer de luy, et qu'après luy peut-estre personne au monde ne recouvrera jamais dans les siècles advenir, et, ce qui plus est, cela seroit sans beaucoup de dépenses et pourroit mesme tourner à profit, et ce sont choses si fort à rechercher que quoy que ce soit sur la terre maintenant ne peut avoir meilleure fortune ni peut-estre esgalle. » « ce sont des choses si fort à rechercher que quoy que ce soit sur la terre, maintenant, ne peut avoir meilleure fortune ni peut-estre esgalle... » APRES SA FUITE EN ESPAGNE EN 1795 photo cliquable ainsi que plusieurs documents de la famille Maraval. photo cliquable D'après monsieur Hercule ce parchemin aurait été établit par trois templiers de Perpignan. ~~~~~~ Nous pourrions donc en tirer la conclusion que Béranger Saunière aurait construit son domaine en s'appuyant sur ses parchemins, plusieurs parchemins à peu près identiques circulent, sont ils authentiques? Nous ne pouvons en apporter la preuve, à chacun son opinion. photo cliquable Qui de nos visiteurs découvrant Alet les Bains la première fois n'a pas été surpris d'apprendre qu'il existe parmi les maisons à colombage du village une maison qui, en plus de se distinguer par ses corbeaux gravés de neuf signes nous suggérant un message ésotérique, est communément désignée comme " maison du juif " ou plus souvent comme " maison de Nostradamus ". Nostradamus ! Le nom est lâché ! Que vient donc faire l'illustre mage provençal dans notre modeste cité thermale ? Mais voyons donc d'abords cette fameuse maison : elle se trouve à l'angle de la Place de la République et de la rue Malbec ancienne ruelle qui menait à la Porte d'Aude aujourd'hui disparue. L'édifice sur trois niveaux dont le style la façade, en colombage et en encorbellement, donnant sur la place nous révèle une construction du début du quinzième siècle, mais une inscription sur les bords de la fenêtre donnant sur la Rue Malbec nous annonce la date de 1647, alors que les fameuses poutres gravées, elles, sont datées du treizième siècle : ce sont là, bien entendu, des poutres de réemploi, le bâtiment actuel étant certainement reconstruit sur les fondations d'un bâtiment antérieur. Nostradamus étant un homme du 16ème siècle, la date de 1647, moitié du 17ème siècle est donc bien postérieure à son époque, mais puisque la façade côté Place est de toute apparence du 15ème siècle - donc contemporaine au mage, - la date ci-dessus peut tout aussi bien célébrer la date d'une reconstruction de la maison, que la date de la mise en ménage d'un de ses occupants suite par exemple à un mariage ou à tout autre événement du même genre. Les poutres de réemploi ayant traversées les siècles jusqu'à nos jours, même si elles sont bien antérieures aux temps de Nostradamus, ceci, encore une fois ne peut infirmer, ni confirmer le fait que ladite maison soit celle de Nostradamus. Mais parmi la série des trois premiers signes gravés, on reconnaît aisément les deux triangles équilatéraux entrelacés qui forment ce que l'on appelle " L'Etoile de David ", symbole appartenant à la tradition judéo-chrétienne ce qui a valu très certainement à cette maison d'être désignée comme " la Maison du juif " Mais ici, nous avons un élément important qui nous permet de spéculer quant à la présence de Nostradamus à Alet car un article de Jean-Marie PELAPRAT dans la revue " HISTORIA " de juin 1982 nous apprend que Michel de Nostredame, alias Nostradamus a des grands-parents juifs convers établis dans la cité d'Aleth. En voici un extrait de Michel, né le 14 décembre 1503 à Saint-Rémy-de-Provence, est le fils de Jaume de Nostredame et de Renée de Saint-Rémy, d'origine juive elle aussi, petite-fille de Jean de Saint-Rémy, médecin particulier du roi René. Cet arrière-grand-père maternel, tant versé dans l'étude des onguents que de celle des astres, entreprend l'éducation de l'enfant qui, en 1518, âgé de quinze ans, est envoyé dans une école à Avignon et stupéfie ses maîtres par sa " mémoire" presque divine ". ( )Bachelier en médecine en 1524, il est envoyé sur les lieux d'une épidémie de fièvre pestilentielle qui ravage le Languedoc. A Narbonne, à Toulouse, à Bordeaux, le jeune Michel de Nostredame fait l'admiration de tous par son abnégation et son efficacité. Cette abnégation, il la proclamera lui-même sans complexe dans son pseudonyme, Nostradamus. Déformation, mais non traduction, de son nom, ce latinisme peut s'interpréter par: " Nous donnons du nôtre ", (nostra damus). Il choisira aussi comme devise: " Soli Deo " : " pour Dieu seul ". (Certains y voient une équivoque et traduisent par; " pour le Dieu soleil "). Il existe un autre argument en faveur d'une relation entre Nostradamus et Alet, mais ici nous entrons dans le domaine de la pure spéculation. Nostradamus est connu surtout pour son uvre écrite, les célèbres " Centuries ". Dans cette uvre où il annonce des événements prophétiques devant se dérouler sur le territoire français, on constate partout il désigne le théâtre de ses prédictions, non pas par le nom des territoires, mais par le nom de la capitale épiscopale ou par le nom de l'évêché qui les concerne. Mais pour l'évêché d'Alet, il n'y est nulle part mentionné, mais là par exception dans ses Centuries, il nomme le nom du comté ; ainsi sept fois il mentionne le nom " Razès " en " omettant " de signaler la capitale épiscopale Alet Et on sait qu'en ésotérisme un des moyens utiliser pour mettre en " valeur " quelque chose d'important, c'est d'occulter ce qui devrait être évident. Ne jamais mentionner Alet, c'est mettre l'accent sur Alet, la désignant comme ville de premier plan pour ses prophéties Etude sur Boudet réalisé par François DEG Tout dictionnaire honnête se ferait un plaisir de traduire CROMLECH par "Monument mégalithique formé de pierres verticales disposées autour d'une autre souvent plus grande". Boudet en citant Figuier précise même un dolmen central (p. 163, Ed. Bélisane). Existait-il un dolmen au lieu-dit "le cercle", centre du cromlech de RLB? Au fait, pourquoi Boudet écrit-il 59 fois dans son livre CROMLECK avec un K (key en vraie langue celtique). Le mot normalement orthographié est CROMLECH qui vient du breton cromlekh de crom, rond et leckh, roche. "Les pierres isolées, dit H. Martin, se nomment men-hir, pierre longue ou peul-van, pilier de pierre; les grottes factices, leckh, roche ou dol-men pierres levées, (de tol ou dol, élévation) ou table de pierre, (de taol, table); les cercles, crom leckh pierres de crom ou cercles de pierres" (H. Martin; Histoire de France p. 48-49). La clé serait-elle dans le cromlech de RLB près du c(ercle)? CROM ou ESUS, dieu gaulois suprême En 1711, on a découvert en fouillant sous le cur de Notre-Dame de Paris un autel érigé par les nautoniers de la seine sous Tibère, c'est-à-dire à une époque où l'idolâtrie avait pénétré en Gaule avec les conquérants étrangers et où l'on commençait à représenter sous figure humaine les divinités gauloises mêlées aux dieux de l'Olympe classique. Sur une des faces de cet autel, on reconnaît Jupiter; sur la face correspondante, un personnage vêtu d'une saie et couronné de feuillage, coupe, avec une serpe ou une hachette, une touffe de feuillage sur un tronc d'arbre. Le nom d'Esus est écrit près de cette figure. Ce dieu, sorti de terre il y a un siècle d'entre les fondements de la cathédrale du moyen-âge c'est le vrai dieu de nos pères, c'est le Jéhovah des Gaulois. (...) Esus, le Terrible, s'appelle aussi dans les Triades Diana ou l'Inconnu et Crom. Crom signifie courbe qui n'a ni commencement ni fin, le cercle d'où Crom-lekh. Le cercle de pierre, image du cercle de l'infini, est son emblème (H. Martin; Histoire de France p. 57-58). ESUS ou LUGH, DIEU DES RICHESSES Lugh en Irlande, Lleu au Pays de Galles, Lugus en Bretagne insulaire, Lugos ou Esus en Gaule, était le dieu celtique du soleil. On le décrivait comme un jeune et beau guerrier. Son nom est resté célèbre même après l'avènement du christianisme, en entrant dans la composition de mots décrivant la magie dans le folklore irlandais. Luchorpain ("petit Lugh bossu") est devenu Leprechaun, lutin, gardien des trésors. On fêtait encore au milieu de ce siècle en Irlande la fête du soleil, Lughnasad, qui avait lieu pendant le mois d'août. On peut également juger de l'importance de son nom en se rappelant que c'est lui qui a donné le sien à la ville de Lyon, Lug-dunum ("le fort de Lugh") dans l'antiquité ou à celle de Loudun, qui a la même origine étymologique. (http://www.ifrance.com/Encycl-celt/religion.html). Le poète Lucain utilise les noms celtes des divinités dans La Pharsale: Esus, Taranis et Toutatis. En l'absence d'une véritable tradition mythologique celte, on ne sait pas "qui est qui". Il semble que, du temps de César, les principaux dieux étaient Taranis, maître du ciel, divinité suprême et accessoirement dieu de la guerre et de l'au-delà; au second rang venait Toutatis, protecteur de la tribu, puis Esus, dieu de la richesse. Ces divinités, comme d'ailleurs d'autres dieux celtes, avaient pour caractéristique de changer très souvent de fonction, et donc de nom, selon les tribus et les régions. On citera l'exemple d'Esus, qui est fréquemment assimilé à Cernunnos, le dieu à tête de cerf. (http://www.asterix.tm.fr/france/dictionnaire/glos_t.htm) RICHESSES ou BLE Pour justifier l'idée récurrente du blé dans son ouvrage, Boudet nous dit: "Le cercle de pierres, ordinairement de forme ronde (sic), représente le pain: Cromleck, en effet dérive de Krum (Kreum), mie de pain et de to like (laïke), aimer, goûter. Dans le Cromleck de Rennes-les-Bains, on voit de fortes pierres rondes, figurant des pains, placées au sommet de roches énormes" (p. 167). Krum ou Krom veut dire courbe (Littré). L'ancien instrument à vent, le cromorne, sorte de trompette, vient de l'allemand Krumhorn qui signifie corne courbée. Crum est la traduction anglaise de mie. Une fois encore, le k désigne le c. Le cromlech apparaît donc comme l'endroit propice pour engranger du blé et faire du pain. Le cercle possède déjà son moulin. Le pain ecclésiastique est le corps du Christ. Serait-ce une nouvelle Bethléem qui signifie en Araméen "la ville du pain" ? En exclusivité Documents René Descadeillas - Alain Feral
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